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28/01/2013

Lorsque la Nature s'exprime en Runes...

Runamo

 

Si, un jour, vous vous rendez dans le Sud de la Suède, près de Brakne-Hoby, dans le Blekinge, et que vous vous promenez sur le site de Runamo, vous allez vous trouvez en face d'un étrange phénomène : une longue rangée de Runes court le long des veines de quartz d’une façade de granit bordant le chemin.

Runamo-01.jpg

Depuis fort longtemps les habitants, perplexes devant cette longue inscription dont ils ne parvenaient à comprendre ni la signification, ni l'origine, la vénérait comme un Lindorm ou dragon terrestre.

Des premières recherches furent décidées, au XIIème siècle, par Valdemar, roi du Danemark.

Malheureusement, celles-ci se soldèrent par un échec.

Finalement, ce fut, en 1833, la Société Royale danoise qui reprit les investigations en créant un comité d’enquête au sein de l’université de Copenhague.

Finnur Magnusson fut désigné pour le diriger.

Scrupuleusement, il nota les Runes gravées dans le roc sur vingt-deux mètres.

Runamo-05.gif

Au terme de dix mois d'étude infructueuse, il fut sur le point d’abandonner lorsqu’il remarqua, le 22 mai 1834, ce qu’il pensait être une « Wendrune », c’est-à-dire une Rune écrite à l’envers, de droite à gauche. Une sorte de transe fulgurante le traversa alors et, comme en état d'extase, il rédigea une traduction qui se révéla être un poème raffiné écrit en grands mètres eddiques appelés Fornyrdislag.

Runamo-03.gif

C'est ainsi que l'on découvrit que cette longue rangée de Runes décrivait la bataille de Bravoll, qui avait opposé les armées de Sigurd Hring et d’Harald Hilditonn, vers 700.

Le déchiffrage de Magnusson marqua un véritable tournant dans l’étude des Runes anciennes, voici le poème :

 

« Hildekind captura le royaume

Gardar grava les Runes

Olaf prêta serment

Que Odin sanctifie la magie

Que le roi Hring Tombe en poussière

Les Elfes, qui aiment les Dieux,

Doivent quitter Ola Odin et Freyr

Et la race des Ases

Doit détruire,

Détruire,

Nos ennemis

Donner à Harald

La grande victoire. »

 

Mais le plus étrange est à venir.

Plus tard, des géologues décidèrent d'examiner le ruban de quartz et s'aperçurent que les Runes n’avaient pas été gravées par une main humaine, mais étaient, en fait, des craquelures formées naturellement dans la veine de quartz !

Et cette nouvelle découverte ne fit qu'accroître encore le mystère des Runes de Runamo. 

Car vu que personne, même ses adversaires, ne mettait en doute la sincérité et l'expertise « extatique » de Magnusson… comment un poème en Ancien Norrois d’une telle finesse avait-il pu émaner de la pierre ?

Les années passèrent, et les Runes de Runamo furent peu à peu oubliées, sauf par la population autochtone qui se mit à appréhender celles-ci comme un exercice spirituel…

Car l'on s'aperçut, et l'on s'aperçoit toujours, que le message délivré par ces Runes naturelles – ainsi que leur apparence elle même se modifie selon le temps, les moments de la journée et les jours de l’année… selon la position du Soleil et l’état mental de la personne qui les contemple.

Qu'elles se révèlent selon l’état de conscience de chacun.

Que si vous vous rendez sur les lieux aujourd'hui, et que vous y retournez après demain, vous remarquerez à chaque fois des Runes différentes ; vous constaterez que les Runes présentent chaque fois un sens nouveau… une autre configuration.

 

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http://pagantroop.blogspot.fr/2013/01/runes-de-runamo.html

http://talismans.e-monsite.com/pages/le-grand-mystere-des...

22/01/2013

Les mains du Manchot

Espace boutique :

Il est clair que ce blog n'est pas destiné à vous proposer des œuvres de pure fiction…

( Le Bouquinorium ou l'Antiquorium sont là pour ça ! )

Mais certaines d'entre elles…

Certaines d'entres elles…

  

Marianne Andrau : « Les mains du Manchot »

 

NéO – Coll. Grands romans du merveilleux fantastique

1989 – 426 pages – 23 x 15 cms – 635 grammes.

Lu ( tranche très légèrement incurvée et légèrement « talée » aux extrémités ) mais avec grand soin, comme l’indique clairement cet exemplaire en très bon état, sain et propre ( l’intérieur est parfait ! ), et ne « souffrant » ( au final ) que de quelques infimes marques de stockage en bordures de plats. Etat général = Bon+

Couverture illustrée par Jean-Michel Nicollet.

>>> 10 €uros. / disponible.

 

Quatrième de couverture :

En plein XXe siècle, une cité légendaire, Parsépol, dresse haut dans l'azur ses remparts de songe, au sommet d'un roc dénudé, quelque part entre Zagreb et Prague. Ville prodigieuse, hors de toute frontière, ville où rien ne ressemble à rien, où l'espace et le temps obéissent à des lois mystérieuses, où il suffit de penser une maison pour la voir apparaître, où les hommes et les femmes n'ont d'autre but que de cultiver leurs âmes jusqu'à la mort libératoire, Parsépol a pour Chef Suprême, Ax de Parsépol, également appelé le « Cerbe », qui est d'une grande beauté bien que son visage ne comporte ni bouche, ni nez, ni oreilles, mais un seul œil, énorme, à la lumière bleue. Il incarne la sagesse et d'ailleurs la langue des Parsépoliens ignore tout mot qui pourrait signifier mensonge, désordre, échec, erreur…

Un jour, un jeune savant, Jude Berguès, qui a consacré sa vie à étudier l'histoire de Parsépol, reçoit une convocation du « Cerbe ». Avec Zite, sa femme, nouvellement épousée, il abandonne tout pour répondre à cet appel, et franchit la porte invisible, gardée par deux monstres de pierre vivante, qui commande l'entrée de Parsépol. Mais, dès leur arrivée, ils seront séparés, car la cité est divisée en deux : la Main Droite où sont les hommes, la Main Gauche où sont les femmes… les deux Mains du Manchot.

Dès lors, le roman devient le récit de la rébellion de Zite et de l'initiation de Jude que le « Cerbe » désignera un jour comme son successeur… 

 

Paru il y a près de 40 ans aux Editions Denoël, ce roman fut salué comme une révélation par les critiques les plus autorisés de l'époque ( parmi lesquels Robert Kanters, Robert Kemp, Alexandre Vialatte, Claude Elsen, Jean Mistler, Henri Petit, Albert-Marie Schmidt, Dominique Arban ), ce qui ne l'empêchera pas de n'être jamais réédité jusqu'à ce jour. Marianne Andrau publia ensuite trois autres chefs-d'œuvre romanesques : Le Prophète, P.C. ( Down City ) et L'architecte fou, ainsi que deux recueils de nouvelles : Lumière d'épouvante et Les faits d'Eiffel ( Présence du Futur ), tous chez Denoël. Incontestablement la plus grande romancière visionnaire française de ce siècle, Marianne Andrau, qui est aujourd'hui âgée de plus de quatre-vingts ans, n'a jamais cessé d'écrire, mais elle se consacre désormais aux essais plutôt qu'à la fiction. Nous comptons rééditer ses trois autres romans.

 

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18/01/2013

Kenneth Anger

 

Kenneth Anger : Rabbit's Moon

 

Filmed in 1950. Released in 1972 and re-released in 1979.

09/01/2013

Les soucoupes volantes / Affaire sérieuse

Espace boutique :

 

Frank EDWARDS :

 

« Les soucoupes volantes / Affaire sérieuse »

 

Qu’y a-t-il de vrai avec les soucoupes volantes ? S’agit-il ou non d’objets venant d’autres mondes ? Et habités par des êtres intelligents ?

Depuis 20 ans, Frank Edwards, reporter de la radio américaine, n’a cessé de passer au crible, jour après jour, toutes les informations – et tous les ragots – concernant ces mystérieux O.V.N.I (Objets Volants Non Identifiés). Sa connaissance du problème est telle qu’il a été appelé en consultation par le gouvernement américain et la direction des forces armées.

Aujourd’hui, dans ce livre, il fait le point. Et, en confrontant des centaines de témoignages, recueillis aux quatre coins du monde, émanant des personnes les plus diverses (des paysans illettrés aux pilotes de ligne), d’individus isolés comme des foules entières, il n’hésite pas à répondre : « Oui, les soucoupes volantes sont une affaire sérieuse. »

Et si nul n’est encore en mesure de dissiper tous les mystères que posent les innombrables apparitions d’O.V.N.I., il affirme qu’un jour proche, l’on saura :

- Quel était le « corps solide » qui heurta un « Comet » volant au-dessus d’Indiana…

- Pourquoi la forme des O.V.N.I a changé au cours des dernières années…

- Comment des téléspectateurs britanniques ont pu capter des signaux émis par une station du Texas, qui ne fonctionnait plus depuis trois ans…

- Quelle était l’étrange substance qui coulait d’un disque distordu aperçu au-dessus du Brésil en 1954.

- Quel était « l’objet » qui rôdait au-dessus de l’aile gauche de l’avion d’Arthur Godfrey, quelque manœuvre que fit ce dernier.

Et de même, l’on saura comment les soucoupes volantes furent sans doute à l’origine des mystérieuses pannes de courant qui privèrent d’électricité, en automne 1965, toute une partie des Etats-Unis.

 

Robert Laffont / Collection « Les énigmes de l’univers » - Edition Originale de 1967.

282 pages – 21,5 x 13,5 cms – 320 grammes.

Nombreuses reproductions de photos en noir et blanc, ainsi qu’une une coupure du journal France-Soir (scotchée en dernière page par le précédent propriétaire du livre) de novembre 1975 et titrée « Des extra-terrestres nous espionneraient depuis des siècles (La France quadrillée par les O.V.N.I. – 80% des soucoupes volantes suivraient des couloirs de vol permanents) », avec une carte indiquant les points d’atterrissage et les couloirs de vol déterminés par Ch. Garreau & R. Lavier.

 

Etat = Quelques (inévitables) marques de lecture et manipulation sur plats (1967 tout de même !), ainsi qu’une fine cassure sur tranche… mais l’ensemble est tout à fait correct, l’intérieur sain et propre et c’est – au final – un bel exemplaire pour ce qui en est de cette assez fragile collection « noire et or » !

Entre bon et « bon+ » ! >>> 5 €uros. / Vendu ! Indisponible. 

 

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05/01/2013

Salamandres et marche dans le feu…

Les salamandres et la marche dans le feu…

 

Les salamandres, ou les serpents de feu

Les salamandres sont traditionnellement représentées sous la forme de serpents noirs ou de vers vivant dans le feu, qu’il s’agisse d’un simple feu de cheminée, du feu alchimique qui fait bouillir l’athanor ou du feu céleste qui s’exprime au moyen de la foudre. Chez les anciens, ces êtres prenaient la forme de petits tritons qui vivaient dans le feu et s’en nourrissaient, mais avaient également le pouvoir de l’éteindre. C’est ainsi que les armoiries de François Ier montrent une salamandre au milieu du feu, surmontée de cette devise : J’y vis et je l’éteins. 

Ces élémentaux, qui n’ont pas de genre déterminé – on dit indifféremment « un » ou « une » salamandre – sont les plus éloignés de la condition humaine, dont ils n’adoptent ni les formes ni le langage. Ils représentent le feu subtil de l’illumination divine, auquel ne peuvent prétendre que les êtres purs en état de sainteté ou certains initiés. 

 

Benvenuto Cellini giflé pour avoir vu une salamandre.

On classe les salamandres en quatre catégories correspondant aux différents degrés de combustion : les salamandres sont rouges, oranges, jaunes ou violettes, ces dernières étant les plus élevées et les plus subtiles. Pour faire changer une salamandre de couleur, on peut réaliser une expérience avec un simple réchaud à alcool pour fondue : en diminuant ou en augmentant les orifices par lesquels l’air pénètre dans le réchaud, on voit la flamme passer du jaune au bleu-violet.

Dans le chapitre un de ses Mémoires, l’artiste et écrivain italien Benvenuto Cellini (1500-1571) raconte que, dans sa jeunesse, il vit une salamandre se matérialiser dans un feu de bois. Son père, qui avait été lui aussi témoin de l’apparition, administra alors un magistral soufflet à son fils. Devant l’incompréhension de ce dernier, le père Cellini lui déclara alors : « Je t’ai giflé pour que tu te souviennes toujours de ce moment et que tu n’oublies pas la salamandre que tu viens de voir ! »

En tant qu’élémentaux du feu, c’est à dire l’élément le plus élevé, le plus mystérieux et le plus difficile à contrôler, les salamandres sont également associées au feu philosophal des alchimistes. On en trouve mention, entre autres, dans l’étrange récit d’Hector Savinien Cyrano de Bergerac (1619-1655), Histoire comique des États et des Empires du Soleil, dans lequel une salamandre se baigne dans les flammes, pendant que s’affrontent deux bêtes de feu, symbolisant les principes du soufre et du mercure, issus des quatre éléments primaires. Dans les traités alchimistes, la salamandre est le symbole de la pierre fixée au rouge, le soufre incombustible : « La salamandre qui se nourrit du feu et le Phénix qui renaît de ses cendres sont les deux symboles les plus communs de ce soufre ». ( Guy de Tervarent : Attributs et symboles dans l’art profane, 1450-1600).

(…)

 

La marche dans le feu

Les élémentaux du feu sont souvent invoqués dans les cérémonies mystiques et religieuses, notamment dans les cultes animistes et chamaniques, en Afrique, en Inde ou au Japon. Les cérémonies bouddhistes préconisent la présence du feu sur l’autel, destiné à réveiller le feu intérieur qui se trouve dans l’homme sous la forme de la Kundalinî.

Certaines survivances de rituels très anciens utilisent également la marche ou la danse sacrée sur le feu pour purifier et élever les fidèles.

J’ai personnellement eu l’occasion d’assister, il y a vingt ans, à une telle cérémonie ; perpétuée par la confrérie d’Anasténaria, près de Thessalonique, dans le nord de la Grèce.

Les membres de cette confrérie mystique se réunissent chaque année au mois de mai autour de leur chef spirituel. Trois jours durant, ils dansent et chantent jusqu’à atteindre la transe. Au soir du troisième jour, ils enflamment un bûcher en plein air puis étalent les braises rougeoyantes sur le sol. Ils traversent alors ce tapis de feu en dansant, pieds nus, sans ressentir aucune brûlure.

Je pensais que l’état de transe dans lequel se trouvaient les danseurs les avait rendus imperméables à la douleur. Mais l’amie grecque qui m’accompagnait me détrompa : la transe n’avait pas pour but d’insensibiliser les hommes, mais d’apprivoiser le feu. Subjugué par les chants et les danses, le feu sacré était devenu inoffensif. Pour me prouver ses dires, elle se déchaussa et à son tour traversa tranquillement le tapis de braises, pieds nus, sans être blessée par le feu. Elle me précisa ensuite qu’elle avait accompli cet acte sans hésiter et sans éprouver la moindre peur de se brûler. Mais, durant sa traversée du feu, elle avait bien senti qu’elle devait aller de l’avant sans s’arrêter ni revenir en arrière, sans quoi la chaleur du foyer l’aurait immédiatement submergée.

Michel Coquet fut témoin de scènes comparables lors de ses voyages au Japon. A Nagano, près de Tokyo, il assista à une marche sur le feu effectuées par des yamabushis adeptes du Shugendo. Alors que le maître de cérémonie méditait en face du brasier, un grand vent se leva, et les flammes vinrent lécher le corps et le visage du maître yamabushi, qui n’y prêta aucune attention. Les moines qui le secondaient, en revanche, durent s’écarter d’urgence du foyer, tandis que la foule commençait à paniquer. Pendant ce temps, le maître demeurait imperturbable. Michel Coquet explique : « Les salamandres étaient alors parfaitement domptées par la puissance de ses mantras, à tel point que même l’effet du feu ne pouvait plus rien contre lui. Après cette expérience inhabituelle, on étala la braise, et les moines purent marcher sur les braises en toute sécurité ! » (Michel Coquet : Devas, ou les mondes angéliques) 

Mircea Eliade, grand spécialiste du chamanisme, confirme l’existence de cet étrange phénomène. Il en fut notamment témoin lors d’une cérémonie des Fidji : « Durant la cérémonie, un grand nombre de non-initiés, et même des étrangers, s’avancent impunément sur les charbons ardents. Une certaine « foi » et le respect d’un symbolisme rituel sont nécessaires : à Rarotonga, un des Européens, qui s’était retourné pendant la traversée, eut les pieds brûlés. Des cérémonies similaires se rencontrent sporadiquement en Inde. A Madras, un yogin a rendu possible le passage à une multitude considérable d’assistants, non seulement non préparés, mais même nettement sceptiques, dont l’évêque de Madras et toute sa suite ». (Mircea Eliade : Mythes, rêves et mystères & Le Chamanisme)  

Tandis que les auteurs du Dictionnaire des Symboles (Jean Chevalier et Alain Gheerbrant) mettent eux en lumière « le feu qui ne brûle pas de l’hermétisme occidental, ablution, purification alchimique, symbolisé par la salamandre ».

Edouard BRASEY ( http://edouardbrasey.com/  

Enquête sur l’existence des Fées et des Esprits de la Nature.

(Filipacchi 1996).

 

Voir également, du même auteur :

http://fierteseuropeennes.hautetfort.com/archive/2013/01/...

 

Fire-walk.jpgfire-walking (1).jpg  

03/01/2013

Pas de panique ...

Bon d’accord…

C’est clair qu’à cette heure…

Là tout de suite maintenant…

On a un peu des sales tronch… euh…  

On a un peu la gueule en vrac !

Mais bon…

Pas de panique…

On se refait une beauté…

On termine ce qu'on… enfin bref… on termine !

Et nos blogs auront repris leurs « rythme(s) de croisière » pour le week end !

Si si… 

gueules de bois

Mister K.

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Miss Skully   

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G.Novak