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21/12/2015

Bientôt la résurrection des mammouths

Bientôt la résurrection des mammouths

20-12-2015.

Les animaux géants disparus il y a 10.000 ans, pourraient de nouveau réapparaître sur la Terre, affirme un chercheur américain.

La résurrection des mammouths aurait lieu dans sept ou dix ans, a déclaré George Church, généticien à l'université de médecine de Harvard, dans une interview au journal américain The Huffington Post. 

L'idée générale de la renaissance de ces animaux disparus est représentée dans le film Jurassic Park. Tout d'abord, les scientifiques recueillent des échantillons d'ADN des mammouths gelés dans la toundra, ensuite ils entremêlent cette ADN et le génome de l'éléphant d'Asie, cette recherche est déjà faite cette année par M.Church. Les deux espèces animales sont presque identiques. Selon M. Church, les éléphants pourraient se reproduire avec les mammouths, s'ils existaient.

Si on modifie l'ADN d'un éléphant, il pourrait produire un hybride ressemblant au mammouth.

Une équipe de scientifiques dirigée par George Church a auparavant présenté une technologie connue sous le nom CRISPR-cas9, qui peut modifier, supprimer ou remplacer les fragments du génome d'un animal ou d'une plante. Cette technologie est moins chère et plus simple que les autres. Elle se base sur un principe de la fonction "rechercher/remplacer" d'un ordinateur. 

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( Note de L.A.M : et pendant que tout le monde fantasme allègrement sur la résurrection des bestioles à poils laineux, on en oublie presque ET de s'arrêter sur la phrase qui dit : "le CRISPR-cas9 peut modifier, supprimer ou remplacer les fragments du génome d'un animal ou d'une plante"... ET de réaliser que l'homme étant un animal, quelques tarés "made in USA" bossent (en fait) sur un bidule capable de "modifier, supprimer ou remplacer des fragments du génome humain" !?!!! ) 
( "Pour notre bien"... bien sûr ! Comme toujours... ) 

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M.Church espère que les "éléphants d'Asie adaptés au froid" pourront occuper de vastes territoires de la toundra et de la taïga en Eurasie et en Amérique du Nord. Selon les scientifiques, ce projet aidera les écologistes à protéger les éléphants d'Asie en voie de disparition. De plus, l'apparition du mammouth dans la toundra permettra de restaurer l'écosystème de cette région.

George McDonald Church est connu pour ses travaux dans le domaine du séquençage, de la biologie synthétique, du génie génétique et de la génomique personnalisée.

SputnikSCI-TECH 

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Mammouths.jpg
Illustration : Flickr/ Julian Johnson

23/03/2015

Robert CHARROUX : Histoire inconnue et Maîtres du monde...

 

Espace boutique : 

 

Robert CHARROUX :

Histoire inconnue des hommes depuis 100.000 ans.

 

A Ba'albek, à l'âge où le paysan ignorait encore la brouette, quels surhommes ou plutôt quels géants, quels demi-dieux venus d'ailleurs ont taillé ces pierres de près de mille tonnes ? Des textes védiques décrivent les terribles guerres qui se déroulèrent dans l'Inde préhistorique : des engins de feu sillonnaient le ciel, des vagues d'irradiations décimaient les armées ! Des cartes du XVIe siècle, établies d'après des archives égyptiennes, font apparaître des relevés d'une précision étonnante et qui, techniquement, sont des relevés aériens !

S'appuyant sur des textes jusqu'ici interdits, ayant lui-même exploré des sites inviolés, Robert Charroux, chasseur de trésors et philosophe, trace des pistes, formule des hypothèses, éclaire notre passé et interroge – non sans angoisse – notre futur.

L'histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans est une somme, un ouvrage de références qui a ouvert la voie à d'innombrables chercheurs.

 

Nombreuses reproductions photographiques et illustrations in et hors-texte.

Robert LAFFONT, Collection « Noire et or » / Reliure souple avec rabats.

1970 – 429 pages – 20 x 14 cms – 420 grammes.

 

Etat = une fine nervure sur la tranche, des bords de plats très légèrement frottés et deux ou trois mini-micro-traces d’usage ça et là… mais bon, c’est du « chipotage », l’ensemble est en excellent état pour un Laffont « Noir et or » de 1970 (une collection dont on a vraiment du mal à trouver les livres en bon état !) : plats bien brillants et quasiment sans traces, ensemble bien compact à la tranche à peine incurvée, intérieur parfait de chez parfait (et toujours bien blanc), un bel exemplaire… dans l’édition vintage que je préfère !

 

>>> 5 €uros. / disponible.  

 

Ailleurs = de 3,50 (avec rousseurs) à 4,50/5 €uros (bon) ou 8/10 €uros (très bon), sur Priceminister.

(On oubliera les exemplaires à 2 €uros « abîmés/dans leur jus » et ceux à 20,90 €uros (et +) proposés par des euh… voleurs !?!!).  

 

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Egalement disponible, un ex. de chez France Loisirs, sans jaquette :

 

CHARROUX Robert :

Histoire inconnue des hommes depuis 100.000 ans

 

Nombreuses photographies et illustrations hors-texte. ( Identiques à celles du Robert Laffont ).

France Loisirs – 1979 – 412 pages – 20,5 x 13,5 cms – 460 grammes.

Reliure cartonnée entoilée de noir, titre et auteur en argent sur tranche… la jaquette couleurs est manquante !

Etat = Rien à signaler… propre, sain, BON pour le service !

 

>>> 3 €uros. / disponible.

 

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Robert CHARROUX : Le livre des secrets trahis

 

Histoire inconnue des hommes depuis cent mille ans, le précédent livre de Robert Charroux constituait un recensement de l'insolite planétaire et concluait que les ancêtres de l'homme ne sont pas d'origine terrestre. Ici, Robert Charroux va plus loin: il découvre les « clefs d'or » de notre histoire secrète dans le plus ancien texte du monde : Le Livre d'Enoch.

Enoch, patriarche biblique, qui parle d'êtres venus d'ailleurs, d'anges géants s'unissant aux Terriennes. Enoch, lui-même enlevé vivant dans le ciel…

Explorant ainsi les mythologies de la « primhistoire » – géographiquement très éloignées – l'auteur relève de troublantes concordances: ainsi s'éclaire l'énigme du désert de Gobi, ainsi se dévoilent le lieu exact du Jardin des Hespérides, d'autres mystères encore.

Révélations initiatiques, jugées dangereuses tant par la science officielle que par les religions établies… mais qu'il était temps de faire.

 

J’ai Lu – Coll. l’aventure mystérieuse – 1980 – 377 pages – 190 grammes.

Etat = Quelques marques de stockage et une légère trace d’humidité concernant le bas des 20 dernières pages, sans quoi tranche non cassée, bon état général.

 

>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Robert CHARROUX : Le livre des maîtres du monde

 

Dans le Gers, en Charente, des tours « hermétiques » dépourvues de toute ouverture, défient la science des archéologues mais certains initiés affirment qu'elles émettent des messages… En Provence, à Falicon, se dresse une pyramide qui recouvre deux immenses temples souterrains où des rites d'initiation étaient pratiqués il y a quelque quatre mille ans… Sur une dalle du Yucatan, gravée avec minutie, se profile une fusée spatiale ; sa forme, ses mécanismes de propulsion sont d'une ressemblance frappante…

Cent autres descriptions ou dessins relevés dans les manuscrits égyptiens, phéniciens, mayas concordent tous : il y a 12 000 ou 5 000 ans, des étrangers venus d'autres planètes – dieux ? Anges ? Extra-terrestres ? – ont vécu sur la Terre et ont laissé des signes, des marques de leur passage. Ils furent les véritables maîtres du monde. Reviendront-ils vers nous un jour ? Est-ce nous, au contraire, qui les rencontrerons, à présent que l'aventure spatiale de l'homme a commencé ?

 

J’ai Lu – Coll. l’aventure mystérieuse – 1980 – 373 pages – 190 grammes.

Etat = Quelques petites marques de stockage, mais tranche non cassée et intérieur sain, état général = entre bon et bon+

 

>>> 3,20 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

CHARROUX-04.jpg

24/07/2013

1,5 milliards d’années

Une eau vieille de 1,5 milliards d'années pourrait abriter la vie.

 

Une poche d’eau vieille de 1,5 milliards d’années au moins a été découverte au fond d’une mine canadienne. Selon les auteurs de la découverte, la possibilité que cette eau abrite, ou ait abrité, des formes de vie n’est pas à exclure.

 

Une poche d’eau datée à 1,5 milliards d’année a été découverte à 2,4 km sous la surface de la Terre, au fond de la mine canadienne de Timmins (Ontario, Canada). Cette étonnante découverte, réalisée par des scientitiques britanniques et canadiens, a fait l’objet d’un article publié le 16 mai 2013 dans la revue Nature sous le titre "Deep fracture fluids isolated in the crust since the Precambrian era" .

 

Selon les auteurs de la découverte, il est même possible que l’âge de cette poche d’eau soit en fait encore plus élevé : il pourrait être de 2,7 milliards d’années, soit le même âge que les roches dans lesquels la poche d’eau est actuellement située.

 

Par ailleurs, le géochimiste britannique Chris Ballentine (Université de Manchester, Royaume-Uni) et ses collègues mentionnent dans leur article qu’il est presque certain que cette eau n’a pas été en contact avec l’atmosphère terrestre pendant au moins 1 milliard d’années. Voire même pendant 2,67 milliards d’années, soit peu après la formation des roches dans lesquelles cette poche d’eau est aujourd’hui emprisonnée.

 

Quel que soit l’âge exact de cette eau, une chose est en tout cas certaine : il est extraordinairement élevé, puisqu’il remonte au Précambrien (4,56 milliards d’années à 542 millions d’années), soit la période géologique au cours de laquelle la Terre s’est formée. Cette datation suscite d’ailleurs un immense étonnement au sein de la communauté scientifique. Et pour cause, puisque les plus anciennes poches d’eau isolées de leur milieu extérieur mises au jour jusqu’ici sont « seulement » âgées de quelques dizaines de millions d’années…

 

Cette poche d’eau abrite-t-elle la vie ? À l’heure actuelle, les scientifiques n’en savent encore rien. Toutefois, des niveaux élevés de méthane et d’hydrogène ont d’ores et déjà été détectés dans cette eau préhistorique. Un résultat encourageant, car la présence de ces molécules dans la poche d’eau pourrait avoir suffi à y assurer la survie de micro-organismes. Aux côtés du méthane et de l’hydrogène dissous, il est à noter que des isotopes d’hélium, du néon, de l’argon et du xénon ont également été retrouvés. Des analyses sont actuellement pratiquées sur des échantillons de cette eau. Des travaux qui pourraient livrer des premiers éléments de réponse sous peu.

 

En attendant, l’existence de cette mystérieuse poche d’eau est loin de n’intéresser que les géochimistes. En effet, elle suggère qu’une trouvaille semblable pourrait tout à fait être effectuée sur d’autres planètes qui ont abrité de l’eau dans le passé… comme la planète Mars par exemple.

 

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Image : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:PJV-Dome-Mine-Super-Pit.jpg

 

Source : http://www.science-et-vie.com/2013/06/03/une-eau-vieille-...

Découvert via : http://eternalcoldforest.tumblr.com/

05/11/2012

Les figurines d'Acambaro

Les figurines d'Acambaro

 

D’après : « Les Découvertes Impossibles ».

>>> http://www.ldi5.com/index.php

>>> http://www.ldi5.com/archeo/acambaro.php

 

En 1923, Waldemar Julsrud, commerçant d'origine allemande, et le "padre" Fray José Marie Martinez découvrirent le site archéologique de Chupicuaro datant de l'époque pré-classique et contenant des vases, des bols et des figurines de la plus ancienne culture indienne connue, nommée d'après le site et datant jusqu'à 1000 ans avant J.C, (antérieure aux indiens Tarascans, la plus vieille culture indiennne connue à cette époque). Cette découverte "classique" ne souleva d'autre polémique que sa paternité contestée par un collectionneur rival.

Quelques années plus tard, en juillet 1944, Julsrud, alors âgé de 69 ans, fit une autre découverte retentissante à Acambaro, petite ville mexicaine située à moins de 300 km au nord-ouest de Mexico, dans la province de Guanajuato.

Alors qu'il se promenait à cheval le long d'un fossé près de la colline du taureau, en compagnie d'un de ses employés, un fermier nommé Odilon Tinajero, son attention fut attirée par un morceau de céramique émergeant du sol. C'était une figurine en terre cuite d'un style qui lui était inconnu.

Il demanda à son employé de creuser et de lui ramener toutes les pièces similaires qu'il pourrait trouver. Tinajero se présenta quelques jours plus tard avec une brouette remplie de ces artefacts. Julsrud était stupéfait par le style et la diversité des figurines. Il passa un marché avec son employé : il lui payerait 1 peso pour toutes les figurines entières rapportées mais rien pour celles abîmées, qu'il devait quand même lui remettre (et qu'il a conservées). Son but visait non pas à encourager son fermier à en fabriquer (il n'en aurait de toute façon eu, ni le temps, ni l'art et le prix était trop bas pour une éventuelle fabrication) mais à le contraindre à fouiller avec la plus extrême précaution.

 

Les figurines furent découvertes par groupes de 20 à 40 à l'intérieur de puits à une profondeur allant d'environ 1m 20 à 1m 80. Ce n'étaient pas des puits funéraires, on a seulement retrouvé 6 crânes lors des fouilles. Il semble, c'est tout au moins l'hypothèse émise par M. Julsrud, qu'elles aient été ensevelies à la hâte pour les protéger du pillage des premiers colons espagnols.

Ce sont plus de 33.500 objets (!!!) en céramique (dans une très grosse majorité), pierre, jade et obsidienne qui ont été retrouvés. Ils sont tous uniques, aucun n'est dupliqué. Ils sont de taille variable, de quelques centimètres à moins d'un mètre. Différents types d'argile ont été utilisés (leur étude serait une précieuse indication de leur provenance), mais tous ont été fabriqués par la méthode du "feu ouvert" (la fabrication de faux ne serait donc pas passée inaperçue par la fumée dégagée et les grandes quantités de bois rare et cher dans cette région – nécessaires).
En dépit de leur grande diversité, on peut les regrouper, par leur design, par centaines voire par milliers, comme issus de différentes cultures.

 

Tout comme le Dr Cabrera (décédé en déc 2001), conservateur des Pierres d'Ica, M. Julsrud n'a jamais fait commerce de sa découverte. Leur but était scientifique et leur volonté de protéger un patrimoine qu'ils estimaient unique pour l'humanité n'a jamais été prise en défaut. C'est toujours avec plaisir qu'ils ont montré leurs pièces à ceux qui le désiraient et ils n'ont cessé de se battre pour que les scientifiques s'intéressent à leur découverte et viennent juger sur place Peine perdue Pourquoi ?

L'une des principales raisons (voir : "historique et argumentaire") du rejet de cette découverte tient aux représentations de ces figurines.

Elles représentent entre autre, des dinosaures, des animaux inconnus, des reptiles, certains aux traits aviaires ; certaines semblent indiquer une forme de domestication de petits reptiles et de petits dinosaures, des grands singes, d'autres montrent clairement des actes zoophiles avec des reptiles, enfin, beaucoup représentent des divinités inconnues, la vie courante et ses objets usuels (pipes, instruments de musique, etc.)(Voir : "quelques exemples de ces figurines").

 

Des hommes avec des dinosaures ? Tout le monde sait bien que c'est impossible !

 

Un homme, un hérétique bien sûr, a fait l'effort de s'intéresser à cette découverte : Charles Hapgood, professeur d'histoire et d'anthropologie à l'Université du New Hampshire (voir ses travaux sur les cartes antiques ). Il a été sur place pour enquêter, rencontrer et interroger les protagonistes de cette histoire. De son voyage, il a ramené quelques échantillons afin de les analyser selon les méthodes les plus modernes et toutes récentes de l'époque (à la fin des années 60).

Les mesures (au carbone 14) données en 1968 par le Laboratoire d'Isotopes Inc. du New Jersey s'échelonnent de 1.110 avant J.C à 4.530 années avant J.C !

En 1972, les datations par thermoluminescence constatées par l'Université de Pennsylvanie sur 2 figurines furent de 2.500 ans av. J.C !

 

Il faudra donc bien qu'un jour, les détracteurs de Glozel (1924) et d'Acambaro (1944) nous expliquent comment l'on peut fabriquer des faux destinés à passer des tests scientifiques de datation ( comme la thermoluminescence et/ou le Carbone 14 ) qui étaient inconnus à l'époque de la découverte des sites en question !

 

Quelques unes de ces figurines sont maintenant visibles par tous dans le musée d'Acambaro.
En attendant que les scientifiques daignent s'y intéresser

(On peut toujours rêver…)

 

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Historique et argumentaire