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14/02/2016

L'Express (U.K) a retrouvé des crânes "extra-terrestres" en Russie...

Une découverte des crânes mystérieux de "dieux" ou de "démons" dans le Caucase ne laisse pas dormir tranquilles des journalistes britanniques. Selon eux, les crânes attestent des contacts du Troisième Reich avec les extraterrestres.

Des crânes appartenant à des créatures inconnues de la science ainsi qu'un coffre contenant une emblème de l'Ahnenerbe, la société la plus secrète de la SS étudiant les sciences occultes et les forces de l'au-delà, découverts dans la république caucasienne d'Adyguée, n'ont pas tardé à piquer la curiosité de chercheurs étrangers. 

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En 2013, une trouvaille a été remise à un complexe ethnographique de l'Adyguée, à savoir deux crânes à cornes et un coffre des occultistes de la SS découverts dans une grotte de la région. Les journalistes du tabloïde britannique Express se sont montrés vivement intéressés par les crânes qui ne semblaient appartenir à aucun animal connu et présentant plusieurs orifices à la place de la cavité buccale.
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Et si les paléontologues ne sont pas parvenus à identifier les crânes, avouant n'avoir jamais vu rien de semblable, les journalistes britanniques ont vite avancé une hypothèse selon laquelle ces trouvailles serviraient de preuve "des liens existant entre les nazis et les extraterrestres ou des tentatives de l'Ahnenerbe d'appeler les démons".

L'Ahnenerbe, cette organisation secrète de l'Allemagne nazie, a mené ses recherches entre 1935 et 1945, et a été créée pour étudier les traditions, les hauts faits et le patrimoine de la soi-disant race germanique.

Ces 350 spécialistes, d'une qualité dite exceptionnelle, étudiaient tout ce qui était mystérieux et inconnu. Ils organisaient des expéditions dans le Tibet, en Antarctique et dans le Caucase et cherchaient à établir des contacts avec les ovnis. A quoi bon ? C'est bien logique : afin d'obtenir le secret du pouvoir absolu et accéder à des types d'arme nouveaux.

Des chercheurs supposent d'ailleurs que les occultistes hitlériens cherchaient des contacts avec les êtres auxquels ces crânes pouvaient appartenir croyant qu'ils étaient originaires de Nibiru, planète hypothétique du Système solaire, ajoutent, sérieusement, les journalistes britanniques.

Source

Note de L.A.M :
Ce qui relance la polémique au sujet des origines de Hellboy non !? Démon ou Nibirurien ? 

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04/04/2015

Jean Faust, histoire d’un pacte / par Philippe Raulet.

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Philippe RAULET :

« Jean Faust, histoire d’un pacte »

 

« Docteur en  théologie, médecin, astrologue, mathématicien, aucun de ces titres ne peut satisfaire Jean Faust de Wittemberg. Son goût du défi, voire de la provocation, l’amène à se tourner vers « l’art efficace entre tous », la magie. Le mot ne lui fait pas peur. Il est temps de s’arracher aux superstitions dans lesquelles l’Eglise tient les âmes, à l’heure où se défait le Moyen Age et où un certain Copernic, là-bas, en Pologne, ose affirmer que la terre n’est pas le centre du monde. Pactiser avec un esprit n’est-il pas le plus rapide moyen d’assouvir sa soif de connaissances, et la jouissance des choses de la vie n’est-elle pas le légitime salaire dû aux hommes affranchis ? Jean Faust signe le pacte. L’esprit Méphistophélès entre à son service pour vingt-quatre années. Qui est le maître ? »

 

Un certain Johann Faust vécut en Allemagne entre 1480 et 1540. Les témoignages attestent d’un personnage hâbleur, escroc sentant le soufre. Il finit de mort violente et, moins de cinquante plus tard, entre en légende. « Jean Faust, histoire d’un pacte » remonte volontairement, au-delà de Goethe et de Marlowe, au texte bas-allemand de la fin du XVe siècle ; il reprend la légende dans son état le plus original et authentique tout en la soumettant aux lois romanesques les plus modernes. Faust y retrouve une jeunesse et une actualité qui devraient lui conquérir tous les publics.

Né en juin 1940, Philippe Raulet est romancier et homme de théâtre ( création et adaptation théâtrale et radiophonique).

 

Albin Michel / France Culture - Collection « Les grands mythes fondateurs de l’Occident ».

1987 – 279 pages – 22,5 x 14,5 cms – 400 grammes.

 

Etat = des plats toujours bien brillants (quelques micro-traces de manip’, mais bon, c’est vraiment « histoire d’écrire quelque chose » !), une cassure sur tranche… mais un ensemble toujours bien compact, et un intérieur parfait ! On va l’estampiller comme « bon »…

( Il valait 120 anciens nouveaux francs, en 1987… ).

 

>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

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Ailleurs = de 7 à 9,50 €uros sur abebooks.fr / 9,3 € sur Priceminister

De 5 à 12 € sur Amazon (sept des 10 livres proposés entre 7 et 9 €)

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28/03/2015

Le Fantastique solognot de Claude Seignolle

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Claude SEIGNOLLE : « Marie la Louve »

 

« Sologne, fin du XIXe siècle. Belle, aimée des siens, Marie est un de ces êtres qui ensoleillent l'existence. Elle a, dit-on, le « pouvoir » de guérir les morsures de loup… L'avenir lui sourit. Elle va célébrer la Saint-Jean avec celui qu'elle aime. Mais lors de cette longue nuit de liesse où les passions et les rancœurs s'exacerbent, l'existence de la jeune fille bascule… Nourrie de mensonges malveillants, la rumeur, que les vents d'hiver semblaient avoir enfoui dans les eaux dormantes des marécages, se réveille, s'embrase et colporte que Marie est l'incarnation du Mal… Ce drame poétique narré avec talent séduit et effraie, la bassesse humaine s'y révélant plus redoutable que les forces occultes. »

Un chef d’œuvre absolu… du Maître absolu de ce fantastique « sorcier, sombre et rural » qui fit sa légende. Lawrence Durrell, qui révéla hors de chez nous l'œuvre de Claude Seignolle, n'hésitait pas à voir en lui le plus grand conteur fantastique de notre siècle. Opinion partagée par Cendrars, Mac Orlan, Hubert Juin et quelques autres.

 

France Loisirs / 1988 / 173 pages / 20,5  x 14 cms / 300 grammes.

Belle reliure cartonnée à l’ancienne, façon papier marbré « à la cuve ».

Etat = Quelques menues traces de manipulation(s) sur la jaquette, ainsi que 2 ou 3 petites rousseurs sur la tranche papier supérieure… sans quoi la reliure et l’intérieur (propre et sain) sont en excellent état.

Bel exemplaire >>> 3 €uros. / disponible.

 

Claude SEIGNOLLE : « Le diable en sabots »

 

C’est ici le Seignolle des campagnes d’antan (la Sologne, le Berri de nos grands-pères) qui nous guide, par des sentiers de lui seul connus, jusqu’aux lisières de la peur : jusqu’à ces carrefours incertains où les fantômes de la légende prêtent soudain leurs traits à des êtres familiers.

Des êtres faits de la même chair et du même sang que nous.

L’étrange forgeron qui s’installe dans le village va, par son allure inquiétante, sa force herculéenne, et par les étranges pouvoirs qu’on lui prête, réveiller la hantise des maléfices chez les habitants et les conduire au meurtre. Un étrange oiseau nocturne sème la terreur : par ses cris il attire irrésistiblement les curieux vers un marais où ils s’enlisent. Une créature chimérique hante les nuits berrichonnes, n’incite-t-elle pas l’homme à devenir une bête sauvage ?…

Autant de récits surprenants où Claude Seignolle envoûte le lecteur par la puissance et l’originalité de ses thèmes alliées à un style charnu et poétique.

 

France Loisirs – 1991 – 189 pages – 20,5 x 13,5 cms – 320 grammes.

Reliure cartonnée recouverte d’un papier marbré, auteur et titre en doré sur tranche, jaquette couleurs.

Etat = quelques petites marques d’usage sur la jaquette, des extrémités de tranche reliure un peu « talée », mais rien de bien grave… l’ensemble est tout à fait O.K, l’intérieur est propre, sain et toujours bien blanc… et l’exemplaire tout à fait bon pour le service !

>>> 2,80 €uros. / disponible.

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Claude SEIGNOLLE : « La gueule »

 

Dans la gueule, livre écrit et publié (1959) sous l’impulsion de son ami Blaise Cendrars, Claude Seignolle raconte notamment les années terribles de la Seconde Guerre Mondiale, de sa captivité en Allemagne nazie à la résistance en pleine Sologne sauvage.

A partir de récits et de souvenirs très personnels, Claude Seignolle nous emporte dans des univers à la limite du fantastique. Sa verve de conteur et le don de l’étrange qu’on lui connaît donnent aux événements du quotidien une dimension quasi surnaturelle.

Ainsi les soldats allemands deviennent des loups verts, dont les crocs luisent dans l’obscurité… De même, dans le récit de la capture d’une patrouille allemande en déroute grâce à une gamelle de patates, Claude Seignolle invente un genre nouveau, le fantastique burlesque.

Souvent le cauchemar tient lieu de réalité. La peur, la détresse, la folie ne résistent pas cependant à un rire intérieur qui fait foi en la vie. Car La Gueule, c’est la faim, la faim terrible qui prend l’homme au ventre, qui pousse à toutes les folies, comme un dernier instinct de survie ou de revanche.

Cette première partie de La Gueule, se poursuit en Suède, où Claude Seignolle est invité à un repas gargantuesque, dont le récit est ponctué de souvenirs de la France affamée de l’immédiate après-guerre. Enfin, on retrouve notre narrateur au Maroc, où c’est la soif et ses hallucinations qui lui tiendront le ventre… et la Gueule !

Prix Paul-Féval de littérature populaire 1999.

 

France Loisirs – 1999 – 252 pages – 20 x 13 cms – 280 grammes.

Reliure souple, avec jaquette (couleurs) de protection reprenant l’illustration de couv’.

Etat = excellent ! Nous n’irons pas jusqu’à écrire "comme neuf " vu qu’en regardant bien, en lumière rasante, on arrivera toujours à trouver une ou deux traçounettes sur la jaquette, mais on en est tout de même pas loin ! Disons euh… « très bon + » !!!

>>> 3 €uros. / disponible. 

 

Claude SEIGNOLLE : « La malvenue »  

 

Dans une ferme de Sologne, où la vie se résume aux durs travaux des champs, naît, au début du siècle, Jeanne Moarc'h, de la Noue, dite la Malvenue, en raison d'une étoile rouge qui la marque au front. La beauté et les désirs de l'adolescente qu'elle devient ne sont pas à la mesure commune; à tous ceux qui l'approchent, elle impose son pouvoir ensorceleur et la sensualité qui escorte chacun de ses gestes va bouleverser le monde où elle se meut. Une suite d'événements tragiques va se produire dans le sillage de la Malvenue...

 

France Loisirs - 1989 - 242 pages - 20,5 x 14 cm - 340 grammes.

Reliure cartonnée marron, avec titre et nom d’auteur sur tranche + jaquette en couleurs.

Bon état, quelques infimes marques de manip’ et/ou stockage sur la jaquette, mais trois fois rien de chez trois fois rien ! Reliure en excellent état, intérieur parfait, tout à fait bon pour le service !

>>> 3 €uros. / disponible. 

 

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27/03/2014

Le Fantastique sorcier, sombre et rural, de Claude Seignolle.

Espace boutique :

 

Claude SEIGNOLLE : « Marie la Louve »

 

« Sologne, fin du XIXe siècle. Belle, aimée des siens, Marie est un de ces êtres qui ensoleillent l'existence. Elle a, dit-on, le « pouvoir » de guérir les morsures de loup… L'avenir lui sourit. Elle va célébrer la Saint-Jean avec celui qu'elle aime. Mais lors de cette longue nuit de liesse où les passions et les rancœurs s'exacerbent, l'existence de la jeune fille bascule… Nourrie de mensonges malveillants, la rumeur, que les vents d'hiver semblaient avoir enfoui dans les eaux dormantes des marécages, se réveille, s'embrase et colporte que Marie est l'incarnation du Mal… Ce drame poétique narré avec talent séduit et effraie, la bassesse humaine s'y révélant plus redoutable que les forces occultes. »

Un chef d’œuvre absolu… du Maître absolu de ce fantastique « sorcier, sombre et rural » qui fit sa légende. Lawrence Durrell, qui révéla hors de chez nous l'œuvre  de Claude Seignolle, n'hésitait pas à voir en lui le plus grand conteur fantastique de notre siècle. Opinion partagée par Cendrars, Mac Orlan, Hubert Juin et quelques autres.

 

France Loisirs / 1988 / 173 pages / 20,5  x 14 cms / 300 grammes.

Belle reliure cartonnée à l’ancienne, façon papier marbré « à la cuve ».

Marques de manipulations et stockage sur la jaquette, ainsi qu’un bas de tranche très légèrement frotté, mais intérieur comme nickel, sain et propre.

>>> 3,50 €uros. / Vendu !

 

Ou :

France Loisirs / 1988 / 173 pages / 20,5  x 14 cms / 300 grammes.

Belle reliure cartonnée à l’ancienne, façon papier marbré « à la cuve ».

Etat = Quelques menues traces de manipulation(s) sur la jaquette, ainsi que deux ou trois petites rousseurs sur la tranche papier supérieure… sans quoi la reliure et l’intérieur (propre et sain) sont en excellent état. Bel exemplaire.

>>> 3 €uros. / disponible. 

 

Egalement disponible :

Un autre exemplaire (même année / même édition), à l’extérieur en moins bon état (une nette pliure sur la tranche d’une jaquette assez marquée, ainsi qu’une tranche reliure « talée » sur le haut et présentant une petite déchirure (3 mm) sur le bas…), mais à l’intérieur lui aussi excellent.

>>> 2 €uros. / disponible.

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06/02/2014

Le TOUT Primordial...

Pan, le Tout primordial

 

Dieu des Cultes Pastoraux, Pan possède un corps à moitié humain et à moitié animal. Barbu, velu, cornu, il a des jambes de chèvre aux sabots fendus et des yeux rusés étirés sur les tempes.

C’est un satyre à l’appétit sexuel démesuré, qui assaille indifféremment les nymphes et les jeunes garçons ; à défaut de proies, il se livre à l’onanisme, tant sa sexualité est exigeante. Il vit dans les forêts, et sa couleur est le vert. Son nom, Pan, signifie "Tout", et le Grand Pan désigne le Grand Tout, l’énergie primordiale et féconde propre à l’univers et à la vie, dont l’expression peut être parfois anarchique et chaotique. Il incarne la puissance des éléments de la nature, dont le déchaînement provoque une "peur-panique", signe de l’affolement des sens et de la raison qui saisit quiconque se trouve en contact avec ce dieu avide et désordonné, à notre ressemblance.

L’Eglise catholique romaine, on le comprend, n’a eu aucun mal à métamorphoser un pareil dieu en diable satanique, en bouc cornu des sabbats. Certains auteurs, notamment dans le registre du romantisme noir et du fantastique, ont à leur tour retenu l’assimilation du Grand Pan au diable, en décrivant l’effroi glacé qui saisit l’être humain suffisamment inconscient pour regarder en face ce dieu redoutable.

Cette terreur ressentie par quiconque rencontrait le dieu Pan est au cœur de l’œuvre des grands écrivains du fantastique noir du XXe siècle : citons, entre autres, H.P. Lovecraft et Gustav Meyrink, qui dans son roman Le Visage Vert évoque le mythe du Chidher (ou Chadhir, ou El-Chidr), à savoir "le prophète vert" de la tradition islamique. Chidher, "le Vert", ou encore Huzur dans les traditions ésotériques de l’islam, a bu de l’eau de vie et ne mourra qu’au son de la trompette du Jugement dernier. Il peut être assimilé à l’Hermès Trismégiste égyptien, à saint Jean, au prophète Elie ou encore au dieu Pan.

Il est "l’Homme Vert", à savoir l’homme de chair incarné sur terre, proche de l’état de nature, se régénérant chaque année au printemps jusqu’à ce que, à la fin des temps, il meure à lui-même, en quittant son enveloppe charnelle (symbolisée par le vert) pour accueillir le Messie et se fondre dans la claire lumière de Dieu.

Pan, c’est avant tout le Dieu Vert, celui qui n’a jamais renié ses origines terriennes et sylvestres, c’est le Dieu Sauvage qui se couche au pied des arbres et comprend le langage des oiseaux. C’est le Cornu, dont les deux cornes sont les antennes qui lui permettent de capter les messages du ciel. C’est le Magicien aux pieds agiles, qui souffle dans sa flûte et nous convie à danser autour d’un feu de joie. Pan, c’est le pouvoir de l’enfance et du jeu, la force du rire, la soif de l’amour, la communion avec la nature immense et vierge. Pan, c’est la revanche de la campagne et des forêts sur les villes ; c’est l’état sauvage contre celui de civilisé ; c’est le monde de l’intuition et de "l’éveil" s’opposant à celui de la raison ; c’est la magie contre la science. [...]

Bien que pourchassé par l’Église de Rome, le sabbat des sorcières serait donc moins une hérésie satanique que la manifestation d’une religion pré-chrétienne, s’enracinant aussi bien dans l’Antiquité grecque et romaine que dans les anciens cultes celtiques et germaniques. La sorcière adorant le "diable", rival noir de Dieu, cacherait en réalité une authentique prêtresse de Pan et une adepte du panthéisme, pour laquelle tout est Dieu, car Dieu est partout, dans chaque objet et dans chaque être vivant. Le dieu Pan est partout : dans les hommes, les animaux, les arbres, les plantes, les pierres, le vent qui souffle dans le soir. Pan désigne la gloire de Dieu sur terre. Car le dieu Pan affirme que Tout est Dieu.

 

Extrait de "Sorcières et démons" d’Édouard Brasey,

publié par Pygmalion Éditions en 2000. 

 

Pan-01.jpgPAN / Chatsworth House, North Derbyshire, England.

 ( Source photographique )

10/04/2013

Point d'assemblage...

« Notre façon de percevoir est celle du prédateur, me déclara-t-il une autre fois. Une manière très efficace d’évaluer et de classer nourriture et danger. Mais là ne réside pas l’unique façon de percevoir dont nous sommes capables. Il en existe une autre, celle avec laquelle je te familiarise : l’acte de percevoir l’essence de toute chose, l’énergie elle-même, directement.

« Percevoir l’essence de toute chose nous fera comprendre, classer, et décrire le monde en termes neufs, plus passionnants, plus élaborés. »

Telle se présentait l’affirmation de don Juan. Et ces termes plus élaborés auxquels il faisait allusion étaient ceux qui lui avaient été enseignés par se prédécesseurs ; des termes qui correspondent aux vérités de la sorcellerie, dénuées de fondement rationnel et sans la moindre relation avec les faits de notre monde quotidien, mais qui sont des vérités qui vont de soi pour les sorciers qui perçoivent directement l’énergie et voient l’essence de toute chose.

Pour ces sorciers, l’acte de sorcellerie le plus significatif est de voir l’essence de l’univers. Selon don Juan, les sorciers de l’antiquité, qui furent les premiers à voir l’essence de l’univers, la décrivirent au mieux. Ils déclarèrent que l’essence de l’univers ressemble à des fils incandescents parcourant l’infinité dans toutes les directions imaginables, des filaments lumineux qui ont conscience de leur existence de manière inconcevable pour la pensée humaine.

Après avoir vu l’essence de l’univers, les sorciers de l’antiquité s’attachèrent à voir l’essence énergétique des êtres humains. Don Juan déclara qu’ils avaient décrit les êtres humains comme des formes brillantes ressemblant à des oeufs géants qu’ils nommèrent oeufs lumineux.

« Quand les sorciers voient un être humain, dit don Juan, ils voient une forme géante et lumineuse qui flotte et fait, en se déplaçant, un profond sillon dans l’énergie de la terre, comme si la forme lumineuse possédait une, racine principale qui le creuse en se traînant. »

Don Juan avait l’impression que notre forme énergétique ne cesse de se modifier au cours du temps. Il précisa que tous les voyants qu’il connaissait, lui inclus, voient que les êtres humains sont plutôt en forme de boules ou parfois même de pierres tombales, qu’en forme d’œufs. Mais, de temps à autre, et sans qu’ils puissent en connaître la raison, les sorciers voient une personne dont l’énergie a une forme d’œuf. Don Juan suggéra que, de nos jours, les gens en forme d’œufs sont plus apparentés aux gens des temps anciens.

Au cours de ses enseignements, don Juan traita et expliqua à plusieurs reprises ce qu’il considérait être la trouvaille décisive des sorciers de l’antiquité. Il la définissait comme la caractéristique cruciale de l’être humain vu comme une boule lumineuse : un endroit d’une intense brillance, rond, de la taille d’une balle de tennis, en permanence situé à l’intérieur de la boule lumineuse, au niveau de sa surface, à environ soixante centimètres en arrière du bord cervical de l’omoplate

droite de la personne.

Comme j’avais de la peine à visualiser cela sur-le-champ, don Juan expliqua que la boule lumineuse est bien plus grande que le corps humain, que l’endroit d’intense brillance fait partie de cette boule d’énergie, et qu’il est situé à hauteur des omoplates, à une longueur de bras du dos de la personne. Il dit que les sorciers d’antan, après avoir vu ce qu’il faisait, le nommèrent « point d’assemblage ».

– « Que fait le point d’assemblage ? demandai-je.

– Il nous fait percevoir, répondit-il. Les sorciers d’antan virent que, pour les êtres humains, la perception est assemblée là, en ce point. Voyant que tous les êtres vivants possèdent un tel point de brillance, les sorciers d’antan présumèrent que toute perception devait naître en cet endroit, de quelque pertinente manière que ce soit.

– Qu’ont donc vu les sorciers d’antan pour être conduits à conclure que la perception se fait au point d’assemblage ? »

Il répondit qu’en tout premier lieu, ils virent que, parmi les millions de filaments lumineux d’énergie universelle traversant la boule lumineuse, seul un petit nombre passait directement au point d’assemblage, ce qui était normal car il est petit comparé au tout.

 

Ensuite, ils virent qu’une petite sphère rayonnante, légèrement plus grande que le point d’assemblage, l’entoure toujours, et qu’elle intensifie grandement la luminosité des filaments qui passent dans ce rayonnement.

Enfin, ils virent deux choses. Premièrement, que le point d’assemblage des êtres humains peut, de lui-même, se déplacer de l’endroit où il est habituellement logé. Deuxièmement, que lorsque le point d’assemblage reste à sa position habituelle, la perception et la conscience semblent normales, pour autant qu’on puisse en juger vu la conduite normale des sujets observés. Mais lorsque leur point d’assemblage et la sphère rayonnante l’environnant sont dans une position différente de l’habituelle, leur conduite insolite semble prouver que leur conscience est différente, qu’ils perçoivent d’une manière peu familière.

Suite à ces observations, la conclusion tirée par les sorciers d’antan fut que plus grand est le déplacement du point d’assemblage de sa position habituelle, plus exceptionnelle est la conduite résultante et, évidemment, la conscience résultante et la perception.

« Remarque bien que lorsque je parle de voir, je dis toujours “avait l’apparence de” ou “ressemblait à”, me prévint don Juan. Tout ce qu’on voit est tellement unique qu’il n’existe pas une seule façon d’en parler, si ce n’est en comparant avec quelque chose de connu. »

Il mentionna que l’exemple le plus approprié d’une telle difficulté résidait dans la manière dont les sorciers parlent du point d’assemblage et du rayonnement qui l’entoure. Ils les décrivent comme une brillance, cependant cela ne peut pas être une brillance car les voyants les voient sans faire usage de leurs yeux. Néanmoins, il leur faut combler ce fossé, donc dire que le point d’assemblage est un endroit de lumière et qu’autour de lui il y a un halo, un rayonnement. Don Juan fit remarquer que nous sommes tellement dans le visuel, tellement sous la coupe de notre perception de prédateur, que tout ce que nous voyons doit s’exprimer à l’aune de ce qu’un oeil de prédateur voit normalement.

Après avoir vu ce que le point d’assemblage et son rayonnement environnant semblent faire, précisa don Juan, les sorciers d’antan introduisirent une explication. Ils proposèrent que le point d’assemblage des êtres humains, lorsqu’il concentre sa sphère rayonnante sur les filaments d’énergie de l’univers qui le traversent, automatiquement et sans préméditation rassemble ces filaments en une perception stable du monde.

« Comment ces filaments dont vous parlez sont-ils assemblés en une stable perception du monde ?

– Il est impossible, à n’importe lequel d’entre nous, de le savoir, répondit-il en insistant. Les sorciers voient le mouvement de l’énergie, mais voir le mouvement de l’énergie ne peut en rien leur apprendre comment et pourquoi l’énergie bouge-t-elle. »

Don Juan déclara qu’après avoir vu que des millions de filaments d’énergie consciente passaient par le point d’assemblage, les sorciers d’antan postulèrent qu’en le traversant ils se réunissaient, comme agglomérés par le rayonnement qui l’entoure. Ayant vu que chez des gens inconscients ou prêts à mourir, le rayonnement est extrêmement faible, et qu’il est totalement absent dans un cadavre, ils en

conclurent que ce rayonnement est conscience.

 

« Ce point d’assemblage, il n’existe donc pas dans un cadavre ? » demandai-je.

Il confirma que, puisque le point d’assemblage et son rayonnement environnant constituent la marque de vie et de conscience, dans un être mort il n’y avait pas trace du point d’assemblage. Pour les sorciers de l’antiquité, l’inéluctable conclusion fut que conscience et perception vont de pair et sont liées au point d’assemblage et au rayonnement qui l’entoure.

 

« Y a-t-il une seule chance pour que ces sorciers se soient trompés à propos de voir ?

– Je ne peux pas t’expliquer pourquoi, mais il n’existe pas une seule possibilité pour que les sorciers se soient trompés sur voir, dit don Juan d’un ton qui interdisait tout argument. Bien sûr, leurs conclusions tirées du fait de voir pourraient être erronées, mais cela résulterait de leur naïveté, ou de leur inculture. Pour pallier à la possibilité d’un tel désastre, les sorciers doivent cultiver leur pensée, de toutes les manières possibles. »

Cela dit, il prit un ton plus doux pour faire remarquer que, sans aucun doute, il serait bien plus raisonnable pour les sorciers de s’en tenir au niveau de la description de ce qu’ils voyaient, mais la tentation de conclure et d’expliquer, même si ce n’est qu’à soi, s’avère bien trop forte pour y résister. Une autre configuration d’énergie que les sorciers de l’antiquité furent capables de voir et d’étudier fut l’effet du déplacement du point d’assemblage. Don Juan précisa que lorsque le point d’assemblage est déplacé ailleurs, un nouvel agglomérat de millions de filaments d’énergie lumineuse s’organise en cet endroit. Les sorciers de l’antiquité virent cela et en déduisirent que, puisque le rayonnement de conscience est toujours présent où que soit le point d’assemblage, la perception est automatiquement assemblée là. Vu la position différente du point d’assemblage, le monde qui en résulte ne peut pas être, de quelque manière que ce soit, le monde de notre quotidien.

Don Juan m’indiqua que les sorciers d’antan furent capables de distinguer deux types de déplacement du point d’assemblage. L’un résidait dans le déplacement en n’importe quel lieu à la surface ou à l’intérieur de la boule lumineuse ; ils caractérisèrent ce déplacement en le nommant changement de point d’assemblage. L’autre consistait en un déplacement au-dehors de la boule lumineuse ; un tel déplacement fut nommé mouvement du point d’assemblage. Ils découvrirent que ce qui faisait la différence entre un changement et un mouvement était la nature de la perception que chacun permet.

Puisque les changements du point d’assemblage sont des déplacements à l’intérieur de la boule lumineuse, les mondes qu’ils engendrent, quels qu’en soient la bizarrerie ou l’étonnant ou l’incroyable qui les caractérisent, sont encore des mondes

appartenant au domaine humain. Ce domaine humain est celui de la totalité des filaments d’énergie qui passent au travers de la boule lumineuse, Au contraire, les mouvements du point d’assemblage, puisqu’ils sont des déplacements en dehors de la boule lumineuse, mettent en oeuvre des filaments d’énergie qui sont au-delà du royaume humain. Percevoir de tels filaments engendre des mondes qui dépassent toute compréhension, des mondes inconcevables n’ayant pas une seule trace d’antécédents humains.

 

Carlos Castaneda : « L'Art de Rêver »

 

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Divers ouvrages de Carlos Castaneda vous seront bientôt proposés sur ce blog…

Soyez vigilants !

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28/03/2013

Les cahiers de la Macumba

Espace boutique :

Mars & avril, mois de l'occultisme et de l'ésotérisme…

 

Paul Gregor

Les cahiers de la Macumba.

 

Devil/Paradis Mensuel – N°17 de mai 1986

Extro de Philippe Pissier

Illustrations de Thierry Tillier et Philippe Pissier

48 pages au format A4.

 

Attention : nous ne désirons pas le vendre… mais l’échanger !

Et pour ce faire, nous attendons vos propositions.

(Préférence sera donnée aux livres ou objets "en rapport" !)

 

Disponible / Échangé ! N'est plus disponible.

 

( N.B : l'exemplaire proposé à l'échange est celui d'un ami et n'a aucun défaut, à contrario du nôtre, pris en photo ci-dessous. Pas de trace de manip' ou de marques de pliures, il est comme neuf ! ) 

 

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>>> http://thierrytillier.canalblog.com/archives/2006/06/30/2205961.html

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La magie ( et on verra que cela reste le terme le plus juste ) relève de la psychiatrie, de Jung, des archétypes, de la religion, de la théologie mystique, de la rééducation des réflexes sexuels, et d'une gymnastique de la volonté et de l'imagination assez ardue. Certainement pas plus ardue que l'entraînement d'un navigateur spatial. Il y a un siècle, des académies de science proclamèrent que les chemins de fer allaient irrémédiablement détraquer les systèmes nerveux. Un vitesse insensée de 30 km/heure ferait de chaque passager un fou furieux. Qu'auraient-ils dit, à cette époque-là, de l'entraînement des navigateurs spatiaux ? Ou de simples pilotes d'avions à réaction ? Chacun est prisonnier de sa petite vie, plus ou moins moyenne, plus ou moins insignifiante. On n'y peut rien ? Quel mensonge grotesque ! Ainsi affirmait-on que d'après les desseins de la Providence l'homme était fait pour ramper sur l'écorce terrestre. Le vol serait par la nature des choses réservé aux oiseaux ! Et pourtant ce n'est pas la nature qui a créé les oiseaux supersoniques.

Ce sont les pionniers annonciateurs d'un nouvel état de conscience qui l'ont créé.

Imagine-t-on qu'on réussira à vivre à l'âge atomique sans violer un subconscient encore attaché à l'âge de pierre ?

 

Paul Gregor / Journal d'un sorcier p. 254

 

Consulter les cahiers sur magick-instinct.org

>>> http://www.magick-instinct.org/Gregor/cmacumba0.html

 

Paul Gregor sur Philippe Pissier Archives.

>>> http://pissierarchives.canalblog.com/archives/paul_gregor/index.html

27/03/2013

Pour le plaisir des yeux ...

... et des amateurs de curiosités !

Satan-et-Amour.jpg

21/03/2013

Le Prince de ce monde

Espace boutique :

Mars & avril, mois de l'occultisme et de l'ésotérisme. 

 

NAHEMA-NEPHTHYS et ANUBIS : Le Prince de ce monde.

 

Quatrième de couv’ :

Le Diable connaît, à l'heure actuelle, un regain d'intérêt qui va de la fascination à l'inquiétude, de la curiosité à une certaine terreur. Car celui que le Nouveau Testament nomme "Le Prince de ce Monde" semble être plus présent que jamais. L'Eglise catholique a augmenté le nombre de ses exorcistes et des groupes sataniques et lucifériens se dévoilent au grand jour, tandis que les sorciers ont pignon sur rue.

Pour comprendre et appréhender ce phénomène, pour savoir vraiment ce qui est en cause et de quoi ou de Qui l'on parle, un ouvrage sérieux manquait. Il fallait un livre parfaitement documenté, complet, capable de clarifier le discours démoniaque, et qui fût l’œuvre non pas d'un théologien ou d'un historien, mais de véritables initiés, spécialistes en démonologie, en magie et sorcellerie, et pratiquant eux-mêmes ces arts. C'est le cas de Nahéma-Nephthys et d'Anubis.

 

"Le Prince de ce Monde" comble cette lacune et va même au-delà de toute espérance. A côté d'une analyse approfondie sur l'existence des démons, sur leur histoire, sur les pactes, les Messes Noires, les Envoûtements, cet ouvrage nous entraîne dans l'univers même de ces démons, qui s'y trouvent répertoriés les uns après les autres avec leurs apparences, leurs prescriptions magiques et leurs fonctions.
Les sorciers, les mages, les spécialistes, mais aussi les lecteurs profanes, chacun y découvrira avec une curiosité mêlée d'inquiétude ces légions terrifiantes. Outil indispensable aux travaux occultes pour les uns, lecture passionnante et pittoresque pour les autres, ce livre est indispensable pour tous ceux qui s'intéressent, de près ou de loin, aux sciences occultes.

 

Edition originale de 1993 !!!

Parue aux éditions du Savoir pour Être, collection La Grande Initiation Secrète.

360 pages – 24 x 15 cms – 612 grammes.

Etat = quelques petites marques de manipulations, mais vraiment trois fois rien ! Tranche non cassée, intérieur sain et propre, un exemplaire en bel état !

 

Pas de prix…

Nous ne désirons pas le vendre, mais l’échanger !

Et pour ce faire, nous attendons vos propositions.


Disponible / Échangé ! N'est plus disponible.

 

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C’est en 1993, que paraissait la première édition de cet ouvrage. Elle fut immédiatement considérée comme étant celle d’un ouvrage essentiel qui comblait des lacunes importantes dans l’étude des Sciences Occultes. Cette édition est aujourd’hui épuisée et seuls quelques rares bouquinistes en possèdent encore quelques exemplaires qu’ils mettent de côté pour les réserver à des clients passionnés. Le seul livre complet en français reprenant un documentation exhaustive qu’on aurait dû rechercher dans une multitude d’ouvrages sur le Satanisme, les magies et les sorcelleries.

 

Anubis (de son vrai nom Francis Desmedt) est né à Ixelles (Bruxelles) en 1946 et décédé en 2006. Ce fut, à la fois, un sorcier héréditaire et un sorcier par initiation. Dans la branche maternelle, sa trisaïeule était à la fois blanchisseuse et sorcière, son arrière-grand-mère magicienne "blanche" et sa grand-mère connaissait des tas de "remèdes de bonne femme". Une autre ancêtre, appelée la "Glaude", était réputée pour connaître les secrets des Meneurs de Loups et la magie des bergers. Le Maître Anubis a suivi sa propre quête ésotérique. Initié à 18 ans au Satanisme par un adepte du pays de Liège (Belgique), il a ensuite suivi quelque temps l'enseignement des Rosicruciens, des Martinistes et des Compagnons d'Isis, puis il a été initié à la sorcellerie Wicca et à la Gnose. Il s'est ensuite associé à Nahéma-Nephthys pour fonder l'Institut Abrasax (dissout en 2006) et former à son tour de nouveaux détenteurs des traditions sorcières et initiatiques. Son Coven (groupe) Wicca a été reconnu par la Wicca occidentale française et la Wicca germanique et il fut lui-même membre de la Satanic Church d'Anton Szandor La Vey (USA).

 

Grand Maître 10ème Degré de la Wicca Belgique. Grand Maître Suprême de l'Église Belge de Satan. Grand Commandeur de l'Ordre Luciférien Initiatique et de l'Église Gnostique L+C.

Décédé en 2006.

 

Nahema-Nephtys (de son vrai nom Dominique Kindermans), est née à Uccle (Bruxelles) en 1950. Elle s'intéressa très tôt à l'ésotérisme et à la spiritualité. Initiée à de hauts grades dans divers cénacles, elle se consacra pendant de nombreuses années à l'étude de l'ésotérisme hellénistique et principalement aux courants gnostiques, ainsi qu'aux antiques religions à Mystères. Sa rencontre avec le Maître Anubis lui ouvrit de nouveaux horizons plus spécifiquement sorciers, et tous les deux créèrent l'Institut Abrasax, dédié à l'enseignement de toutes les formes de magies et de sorcelleries. De formation scientifique, passionnée par les phénomènes encore inexpliqués, elle dispose aussi de vastes connaissances en philosophie, en théologie, en démonologie, en histoire et en psychologie. Elle a participé avec le Maître Anubis à diverses émissions télévisées et radiophoniques.

 

(Amazon.fr, à l’occasion de la ré-édition de l’ouvrage en 2012). 

 

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Ailleurs = de 25 à 46 €uros sur abebooks.fr pour cette édition originale de 1993. 

 

>>> https://sites.google.com/site/themysbox/rue-des-petits-papiers/travaux-articles-et-autres-textes/etude-sur-le-luciferisme-contemporain-en-france 

07/03/2013

Black Widow

 Mois de l’Ésotérisme et de l’Occultisme.