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24/12/2013

Gurdjieff : Songs of Sayyids and Dervishes

 

George Ivanovich Gurdjieff & Thomas de Hartman :

Songs of Sayyids and Dervishes

29/10/2013

QIGONG

Espace boutique :

 

« B.A.-BA QIGONG » par Gérard Edde

 

Fort d'une expérience de cinq mille ans, le Qigong s'impose comme une somme d'exercices de santé simples et efficaces. Le Qigong développe à son maximum notre potentiel naturel de guérison, et notre capacité à répondre au stress du monde actuel.

Sa pratique prend sa source dans les meilleures méthodes de la médecine traditionnelle chinoise, des arts martiaux et des trois grands mouvements spirituels de la Chine ancienne : taoïsme, bouddhisme et confucianisme.

Ce B.A.-BA du Qigong vous propose une approche raisonnée et progressive du Qigong grâce à une sélection rigoureuse des exercices les plus traditionnels et les plus efficaces. Vous y découvrirez : Le Qigong des six sons de guérison pour renforcer les organes vitaux par la respiration, la visualisation et les vibrations du son de la voix / Les exercices en position allongée de Ma Litang destinés à renforcer l'énergie vitale / Le Qigong ancien de la Porte du Dragon que les taoïstes employaient pour développer l'énergie vitale invisible : le Qi / Le Qigong secret de la régénération des moelles utilisé par les moines Shaolin pour renforcer leur immunité et leur système osseux / Les principales erreurs à éviter lorsque l'on commence à s'adonner à cet art de santé séculaire / Un index pratique des troubles de santé et des Qiqong correspondants.

L'auteur, qui enseigne le Qigong depuis plus de vingt ans, a puisé aux racines chinoises les plus authentiques.

 

Pardès 2000 / 128 pages / 21x14 cms / 190 grammes.

Nombreuses illustrations.

Etat = Nombreuses petites traces/marques de manipulation(s) et/ou stockage sur plats. Ainsi que quelques phrases soulignées (au crayon) au gré des premiers chapitres. Mais rien de bien grave néanmoins, l’intérieur, riche en croquis et illustrations est sain… et l’ensemble (quelque part entre moyen+ et bien) est tout à fait O.K/bon pour le service !

>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.  

 

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Prix neuf = 11,40 €uros.

Ailleurs = De 5 à 8,40 €uros sur priceminister

De 5,88 à 9 €uros sur Amazon.fr

 

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07/08/2013

Compagnons et bâtisseurs

Espace Boutique :

 

François ICHER :

« Compagnons et bâtisseurs - Récits, contes et légendes »

                                  

Ce livre nous fait découvrir le monde particulier des bâtisseurs de cathédrales et autres compagnons, œuvriers d’hier et d’aujourd’hui.

Outre quelques petits récits qui se sont transmis de chantier en chantier, de corporation en corporation, François Icher a réuni ici quelques contes et récits mythologiques. Plusieurs grands auteurs comme Frédéric Mistral, Gérard de Nerval, Raoul Vergez… mais aussi Albert Bernet, André Gastaud Jaffus et bien d’autres encore nous racontent des témoignages empruntés au patrimoine de ces confréries.

A travers cette écriture fluide et poétique, vous découvrirez un univers fraternel, chargé de spiritualité et fondé sur une culture de métier.

 

Grancher éditeur « La mémoire des bâtisseurs » – 1996.

215 pages – 22 x 14,5 cms – 360 grammes.

Livre neuf toujours sous cellophane !  

>>> 6 €uros. / disponible. 

 

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03/05/2013

Wardruna : Yggdrasil / Preview

 

 

 

WARDRUNA : « Yggdrasil » / Preview

 

 http://www.wardruna.com/

04/04/2013

Jean MARKALE / Chartres et l’énigme des druides

Espace boutique :

Mars et avril, mois de l'occultisme et de l'ésotérisme...

 

Jean MARKALE : « Chartres et l’énigme des druides »

 

Quatrième de couverture :

La cathédrale de Chartres est incontestablement l'un des plus beaux sanctuaires de toute la chrétienté, tant par son architecture et la richesse artistique de son ornementation, que par la valeur symbolique de son ensemble. Mais c'est surtout un sanctuaire dédié à la Vierge, et cela, semble-t-il, bien avant l'introduction du christianisme en Gaule. Quelle est donc cette mystérieuse Virgo paritura que les Druides auraient vénérée à l'emplacement même de la crypte de la cathédrale actuelle, dans une grotte ou dans un temple en plein air ?

Ne serait-elle pas, cette « Notre Dame de Sous-Terre », l'image de la Mère universelle, la Déesse des Commencements, celle « sur le point d'enfanter » le monde, vers laquelle se dresse l'humanité entière, celle enfin que les chrétiens ont fini par identifier à l'Immaculée conception ?

A travers la cathédrale de Chartres, haut-lieu de la dévotion mariale, mais également à travers le labyrinthe de la vieille ville, si chargée d'histoire, d'étranges voix se font entendre. Chartres n'est-elle pas située au centre de la Beauce, recouverte autrefois par une forêt immense, la forêt des Carnutes, qui, selon Jules César, abritait le plus grand sanctuaire de toute la Gaule, sanctuaire où les Druides venaient célébrer, une fois l'an, de très secrètes liturgies ?

Ce qui est sûr, en tout cas, c'est qu'il existe une filiation évidente entre le culte druidique de la Déesse-Mère et le culte de la Vierge Marie, culte lié lui-même aux représentations dites de la Vierge Noire. Or, si Notre Dame de Chartres, comme celle du Puy-en-Velay, comme celle de Rocamadour, est une Vierge Noire, que recouvre donc son image mythique, surtout dans un pays marqué par la présence indélébile des Druides ? C'est à tous ces problèmes nimbés d'ombre que cet ouvrage, captivant et hautement documenté, tente de répondre, aussi bien par l'archéologie que par l'histoire, la mythologie et l'histoire des religions.

 

France loisirs – 2007 – 317 pages – 22,5 x 14 cm – 420 grammes.

Etat = reliure éditeur cartonnée noire avec titre en doré sur tranche et jaquette couleur. Traces de stockage et manip’ sur jaquette, ainsi qu’un haut de tranche reliure légèrement frotté, mais rien de bien notable. Sain, propre et tout à fait bon pour le service.

>>> 4,80 €uros. / vendu ! Temporairement indisponible.

 

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01/03/2013

Gérald BROUSSEAU GARDNER

Espace boutique :

Mois de l’Ésotérisme et de l’Occultisme.

 

Gérald BROUSSEAU GARDNER : « Le Livre des Ombres »

 

Quatrième de couverture : En 1949, Gerald Brousseau Gardner, fondateur de la Wicca, en rassemblait les principaux préceptes et rituels dans son Livre des Ombres, et synthétisait ainsi la mystique de ce qu’il voyait comme un « art des sages ».

Après un itinéraire initiatique qui démarra avec le spiritualisme anglo-saxon et la théosophie, pour l’emmener jusqu’à l’étude des croyances de plusieurs peuples orientaux, Gardner revint en Angleterre et se plongea dans les mystiques païennes proto-indo-européennes, les secrets de la sorcellerie du Moyen Âge, qui pour lui en étaient l’authentique persistance, et créa son propre coven de Wiccans.

Sabbats, rituels d’initiation, obtention de visions, descente de la lune, psalmodies, sortie hors du corps, fouet et baiser, manière de consacrer les outils, pouvoir et voie octuple, sont, entre bien d’autres, dûment renseignés et détaillés dans ce Liber Umbrarum devenu mythique.

Camion Noir – 2007.

 

157 pages – 21x15 cms – 300 grammes.

Etat = Quelques (inévitables, mais infimes) traces de stockage/manip’… mais rien de bien notable ! Intérieur sain et propre, état général entre bon+ et très bon !   

>>> 16 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Camion Noir - Livre des Ombres.jpg

Prix neuf / indiqué sur le livre – quatrième de couv : 22 €uros.

Ailleurs = 15 à 18 €uros sur Priceminister 

21/02/2013

Les mystères de la tradition cathare

Espace boutique :

 

Julien VENTADOUR :

« Les mystères de la tradition cathare »

 

Tous les grands courants de pensée trouvent leur source dans une tradition immémoriale. Il est bien difficile, à qui veut s’initier à leurs mystères, de distinguer l’histoire de la légende, les faits des théories ésotériques et le sacré du profane.

La tradition cathare a fait couler beaucoup d’encre et parler tant et plus, mais elle reste méconnue du plus grand nombre. Cet ouvrage nous fait pénétrer au cœur de son secret. Julien Ventadour nous emmène sur les traces de ce mouvement évangélique qui connut une brève heure de gloire avant d’être sauvagement réprimé par l’Eglise. Il éclaire d’un jour nouveau la quête mystique des bougres et des parfaits. Il nous livre le message de sagesse caché dans les rites sacrés de la sainte oraison et du consolament : l’amour, dit la tradition cathare, peut devenir une puissance magique…

De Vecchi poche – 1993 – 142 pages – 145 grammes.

Etat = quasiment comme neuf !

>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

Julien -VENTADOUR.jpg

Ailleurs = Entre 2,05 et 5 €uros sur Priceminister (selon l’état)…

20/02/2013

Le visage de dieu

Espace boutique :

 

Igor & Grichka  BOGDANOV : « Le visage de dieu »

« Si ces questions sur le commencement du temps fascinent, mais peuvent également déranger, c’est peut-être parce qu’elles s’étendent bien au-delà du champ proprement dit de la physique […] C’est se demander si l’univers a un sens. De la matière à l’esprit, c’est mettre en scène finalement, Dieu ou le néant ».

En 1992, les astrophysiciens Georges Smoot et John C. Mather (prix Nobel de physique 2006), découvrent grâce au satellite Cobe l’empreinte du Big Bang dans l’univers. Georges Smoot a alors prononcé cette phrase désormais célèbre : « C’était comme voir le visage de Dieu ! »

Quels secrets se cachent derrière la naissance de l’univers ? Nourri des formidables attentes suscitées  par le nouveau satellite Planck, ce livre s’approche, comme jamais, de ce mystère suprême et nous fait voir que la science, parfois, se confond avec la plus haute spiritualité.

 

Avant-propos de Robert W. Wilson, prix Nobel de physique.

 

J’ai lu – 2011 – 285 pages – 160 grammes.

Etat = quelques petites traces de manipulations / lectures, mais vraiment « trois fois rien », un exemplaire en excellent état, entre « bon+ » et très bon !

 

>>> 3,20 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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6,50 €uros ( neuf ) sur decitre.fr

05/01/2013

Salamandres et marche dans le feu…

Les salamandres et la marche dans le feu…

 

Les salamandres, ou les serpents de feu

Les salamandres sont traditionnellement représentées sous la forme de serpents noirs ou de vers vivant dans le feu, qu’il s’agisse d’un simple feu de cheminée, du feu alchimique qui fait bouillir l’athanor ou du feu céleste qui s’exprime au moyen de la foudre. Chez les anciens, ces êtres prenaient la forme de petits tritons qui vivaient dans le feu et s’en nourrissaient, mais avaient également le pouvoir de l’éteindre. C’est ainsi que les armoiries de François Ier montrent une salamandre au milieu du feu, surmontée de cette devise : J’y vis et je l’éteins. 

Ces élémentaux, qui n’ont pas de genre déterminé – on dit indifféremment « un » ou « une » salamandre – sont les plus éloignés de la condition humaine, dont ils n’adoptent ni les formes ni le langage. Ils représentent le feu subtil de l’illumination divine, auquel ne peuvent prétendre que les êtres purs en état de sainteté ou certains initiés. 

 

Benvenuto Cellini giflé pour avoir vu une salamandre.

On classe les salamandres en quatre catégories correspondant aux différents degrés de combustion : les salamandres sont rouges, oranges, jaunes ou violettes, ces dernières étant les plus élevées et les plus subtiles. Pour faire changer une salamandre de couleur, on peut réaliser une expérience avec un simple réchaud à alcool pour fondue : en diminuant ou en augmentant les orifices par lesquels l’air pénètre dans le réchaud, on voit la flamme passer du jaune au bleu-violet.

Dans le chapitre un de ses Mémoires, l’artiste et écrivain italien Benvenuto Cellini (1500-1571) raconte que, dans sa jeunesse, il vit une salamandre se matérialiser dans un feu de bois. Son père, qui avait été lui aussi témoin de l’apparition, administra alors un magistral soufflet à son fils. Devant l’incompréhension de ce dernier, le père Cellini lui déclara alors : « Je t’ai giflé pour que tu te souviennes toujours de ce moment et que tu n’oublies pas la salamandre que tu viens de voir ! »

En tant qu’élémentaux du feu, c’est à dire l’élément le plus élevé, le plus mystérieux et le plus difficile à contrôler, les salamandres sont également associées au feu philosophal des alchimistes. On en trouve mention, entre autres, dans l’étrange récit d’Hector Savinien Cyrano de Bergerac (1619-1655), Histoire comique des États et des Empires du Soleil, dans lequel une salamandre se baigne dans les flammes, pendant que s’affrontent deux bêtes de feu, symbolisant les principes du soufre et du mercure, issus des quatre éléments primaires. Dans les traités alchimistes, la salamandre est le symbole de la pierre fixée au rouge, le soufre incombustible : « La salamandre qui se nourrit du feu et le Phénix qui renaît de ses cendres sont les deux symboles les plus communs de ce soufre ». ( Guy de Tervarent : Attributs et symboles dans l’art profane, 1450-1600).

(…)

 

La marche dans le feu

Les élémentaux du feu sont souvent invoqués dans les cérémonies mystiques et religieuses, notamment dans les cultes animistes et chamaniques, en Afrique, en Inde ou au Japon. Les cérémonies bouddhistes préconisent la présence du feu sur l’autel, destiné à réveiller le feu intérieur qui se trouve dans l’homme sous la forme de la Kundalinî.

Certaines survivances de rituels très anciens utilisent également la marche ou la danse sacrée sur le feu pour purifier et élever les fidèles.

J’ai personnellement eu l’occasion d’assister, il y a vingt ans, à une telle cérémonie ; perpétuée par la confrérie d’Anasténaria, près de Thessalonique, dans le nord de la Grèce.

Les membres de cette confrérie mystique se réunissent chaque année au mois de mai autour de leur chef spirituel. Trois jours durant, ils dansent et chantent jusqu’à atteindre la transe. Au soir du troisième jour, ils enflamment un bûcher en plein air puis étalent les braises rougeoyantes sur le sol. Ils traversent alors ce tapis de feu en dansant, pieds nus, sans ressentir aucune brûlure.

Je pensais que l’état de transe dans lequel se trouvaient les danseurs les avait rendus imperméables à la douleur. Mais l’amie grecque qui m’accompagnait me détrompa : la transe n’avait pas pour but d’insensibiliser les hommes, mais d’apprivoiser le feu. Subjugué par les chants et les danses, le feu sacré était devenu inoffensif. Pour me prouver ses dires, elle se déchaussa et à son tour traversa tranquillement le tapis de braises, pieds nus, sans être blessée par le feu. Elle me précisa ensuite qu’elle avait accompli cet acte sans hésiter et sans éprouver la moindre peur de se brûler. Mais, durant sa traversée du feu, elle avait bien senti qu’elle devait aller de l’avant sans s’arrêter ni revenir en arrière, sans quoi la chaleur du foyer l’aurait immédiatement submergée.

Michel Coquet fut témoin de scènes comparables lors de ses voyages au Japon. A Nagano, près de Tokyo, il assista à une marche sur le feu effectuées par des yamabushis adeptes du Shugendo. Alors que le maître de cérémonie méditait en face du brasier, un grand vent se leva, et les flammes vinrent lécher le corps et le visage du maître yamabushi, qui n’y prêta aucune attention. Les moines qui le secondaient, en revanche, durent s’écarter d’urgence du foyer, tandis que la foule commençait à paniquer. Pendant ce temps, le maître demeurait imperturbable. Michel Coquet explique : « Les salamandres étaient alors parfaitement domptées par la puissance de ses mantras, à tel point que même l’effet du feu ne pouvait plus rien contre lui. Après cette expérience inhabituelle, on étala la braise, et les moines purent marcher sur les braises en toute sécurité ! » (Michel Coquet : Devas, ou les mondes angéliques) 

Mircea Eliade, grand spécialiste du chamanisme, confirme l’existence de cet étrange phénomène. Il en fut notamment témoin lors d’une cérémonie des Fidji : « Durant la cérémonie, un grand nombre de non-initiés, et même des étrangers, s’avancent impunément sur les charbons ardents. Une certaine « foi » et le respect d’un symbolisme rituel sont nécessaires : à Rarotonga, un des Européens, qui s’était retourné pendant la traversée, eut les pieds brûlés. Des cérémonies similaires se rencontrent sporadiquement en Inde. A Madras, un yogin a rendu possible le passage à une multitude considérable d’assistants, non seulement non préparés, mais même nettement sceptiques, dont l’évêque de Madras et toute sa suite ». (Mircea Eliade : Mythes, rêves et mystères & Le Chamanisme)  

Tandis que les auteurs du Dictionnaire des Symboles (Jean Chevalier et Alain Gheerbrant) mettent eux en lumière « le feu qui ne brûle pas de l’hermétisme occidental, ablution, purification alchimique, symbolisé par la salamandre ».

Edouard BRASEY ( http://edouardbrasey.com/  

Enquête sur l’existence des Fées et des Esprits de la Nature.

(Filipacchi 1996).

 

Voir également, du même auteur :

http://fierteseuropeennes.hautetfort.com/archive/2013/01/...

 

Fire-walk.jpgfire-walking (1).jpg  

17/12/2012

Wardruna - Hagal (Live at Incubate 2009)