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08/10/2015

J. MARKALE : Carnac et l’énigme de l’Atlantide

Espace boutique :

 

Jean MARKALE : « Carnac et l’énigme de l’Atlantide »

 

Depuis des temps immémoriaux, les énigmatiques alignements de Carnac intriguent l’imagination des hommes. Une telle accumulation de rocs, érigés en un même lieu, au moyen de techniques totalement mystérieuses, a de quoi, en effet, susciter étonnement et perplexité. De multiples légendes ont, elles aussi, alimenté à leur propos les plus diverses interrogations : les dolmens, les menhirs, les cromlechs, les allées couvertes sont-elles l’œuvre des dieux, la manifestation tangible de miracles, d’une toute-puissante magie, d’une connaissance oubliée ? Ont-ils été dressés par des forces invisibles, par des géants, des gnomes aux pouvoirs inconnus ?

Ce livre fait le point de toutes les croyances, de toutes les suppositions formulées à propos de Carnac et des terres environnantes, les plus riches de France en monuments mégalithiques de toutes sortes. Mais l’auteur va plus loin. Il propose une nouvelle hypothèse, hardie, mais fondée sur des textes et des recherches minutieuses : les monuments de Carnac ne seraient-ils pas les ultimes vestiges de la civilisation de l’Atlantide engloutie à l’aube de l’Histoire dans d’inexplicables circonstances, civilisation dont seul Platon, sur la foi de documents égyptiens, mentionne l’existence et la disparition ? Une hypothèse s'appuyant sur les éléments les plus scientifiques de l'archéologie contemporaine, ainsi que sur l'étude comparative et systématique des données historiques, anthropologiques, mythologiques et légendaires. 

L’énigme de l’Atlantide trouverait-elle ses racines et sa solution à Carnac, dans les immenses sanctuaires mégalithiques qui bordent l’océan ? Perspective explosive et passionnante appelée, sans nul doute, à heurter bien des esprits, du moins à ébranler certaines convictions ancrées depuis des siècles dans la mémoire populaire.

 

Le grand livre du mois – 1987.

305 pages – 23 x 14,5 cms – 480 grammes.

8 pages de photographies et reproductions hors-texte.

Reliure cartonnée marron-gris très clair + jaquette couleurs.

Etat = Coins de plats légèrement « talés » (rien de bien conséquent, 2 mm tout au plus) ainsi que de petites (et inévitables) marques de manipulations sur la jaquette, sans quoi il est très bien ! Tranche nickel, intérieur sain et propre, tout à fait bon pour le service !

>>> 4,50 €uros. / disponible.  

 

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26/08/2015

Jean MARKALE / Collection "Histoire de la France secrète"

Espace boutique

 

 

Jean MARKALE : 

« MONTSEGUR et l’énigme cathare »

 

En ces temps de prophétisme où l’on répète que le XXIe siècle sera mystique ou ne sera pas, les grandes énigmes de notre histoire fascinent plus que jamais nos imaginations. Sans doute pressentons-nous confusément que derrière elles se cachent, peut-être, les vérités fondamentales de notre destinée, l’explication de notre cheminement terrestre vers un « ailleurs », sans l’espoir duquel il nous serait impossible de vivre.

Montségur, « ce nid d'aigle vers lequel convergent tous les nuages du monde », reste l'un de ces lieux privilégiés où souffle encore l'esprit, où planera toujours le mystère du Saint Graal, où viendront inconsciemment s'arrimer rêves et illusions des générations successives, en dépit des flammes du bûcher allumé naguère par les Inquisiteurs pour réduire à jamais la résistance cathare. 

Or qui étaient les Cathares ? D'où venaient-ils ? Pourquoi s'étaient-ils rassemblés dans le Razès mystérieux, non loin de Rennes-le-Château et de Quéribus, au cœur d'une étrange région entourée de vallées profondes, de sommets brûlés par le soleil ?

Quel trésor cherchèrent-ils à sauver ? Quels furent leur véritable doctrine, leurs rapports avec l'Occitanie médiévale, avec les Templiers ? Pourquoi furent-ils si cruellement pourchassés ?

 

Dans ce premier ouvrage, point de départ d’un fabuleux itinéraire qu’il entreprend pour nous, Jean Markale s'attache à répondre objectivement à ces questions, en démêlant le vrai du faux. Au terme d'une enquête menée sur place avec passion, s'appuyant sur une documentation rigoureuse et étendue, une connaissance approfondie de l'Histoire et de la tradition, il ouvre des voies nouvelles, suggère des pistes oubliées, formule des hypothèses exaltantes au-delà desquelles s'esquisse en filigrane le scintillement d'une lumière recherchée par l'homme depuis l'aube des temps...

 

Le grand Livre du Mois / Collection « Histoire de la France secrète » – 1986.

317 pages – 14,5 x 23 cms – 480 grammes.

Reliure cartonnée entoilée de vert olive avec titre et nom d’auteur en noir sur tranche et premier plat + jaquette de protection en couleurs.

8 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte.

 

Etat = de légères traces de stockage et manipulations sur une jaquette restée néanmoins brillante et (surtout) sans accrocs, ainsi que quelques petites rousseurs éparses sur les tranches papier… mais rien de franchement notable pour autant ! La reliure et l’intérieur sont en excellent état et l’exemplaire tout à fait bon pour le service !

 

>>> 4 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Jean MARKALE :

« Le MONT SAINT-MICHEL et l’énigme du dragon »

 

« Acropole des brouillards, perle de l’Occident », le Mont-Saint-Michel n’est pas seulement un monument en tous points remarquable, un site parmi les plus célèbres de France. C’est aussi un haut lieu de l’Histoire, un énigmatique sanctuaire, le phare d’une spiritualité intense qui, après avoir rayonné sur le Moyen-Age, a traversé les siècles pour parvenir jusqu’à nous.

Mont sacré depuis les origines, certains viennent à lui pour accomplir un fervent pèlerinage, d’autres pour admirer un chef-d’œuvre naturel et architectural sans équivalent dans le monde. La figure flamboyante de l’Archange Michel, en l’honneur duquel fut bâtie l’abbaye, continue en effet à défier le temps et l’espace, à enflammer les imaginations, à intriguer, à provoquer. Quel est donc cet archange triomphant du dragon ? Quelle réalité mythologique, quel message laisse-t-il entrevoir ? Quelles divinités de lumière ont-elles combattu, avant lui, les puissances de l’ombre ? Pourquoi les hommes ont-ils éprouvé l’impérieuse nécessité de construire au sommet de ce roc solitaire un édifice si prestigieux, si singulier ? A quelles mystérieuses et silencieuses liturgies obéit-il ?

 

Réfutant les clichés habituels, Jean Markale propose une vision spirituelle et symbolique du Mont-Saint-Michel qui découle d’une approche originale et cohérente des textes. Lieu privilégié, point d’équilibre où s’affrontent toujours des forces en apparence contradictoires, le Mont recèle en fait une réalité unique où s’exprime et se perpétue l’une des plus anciennes et plus fondamentales aspirations de l’homme : la réconciliation avec soi-même.

 

Le grand Livre du Mois / Collection « Histoire de la France secrète » – 1987.

306 pages – 14,5 x 23 cms – 480 grammes.

Reliure cartonnée orange avec titre et nom d’auteur en blanc + jaquette en couleurs

Reliure cartonnée entoilée d’orange avec titre et nom d’auteur en blanc sur tranche et premier plat + jaquette de protection en couleurs.

8 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte.

 

Etat = de légères traces de stockage et manipulations sur une jaquette restée néanmoins brillante et (surtout) vierge de tout manque, deux ou trois infimes rousseurs sur les tranches papier… et c’est à peu près tout ! La reliure et l’intérieur sont en excellent état et j’estampille l’exemplaire comme « bon » sans hésiter !

 

>>> 4,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Jean MARKALE :

« CARNAC et l’énigme de l’Atlantide »

 

Depuis des temps immémoriaux, les énigmatiques alignements de Carnac intriguent l’imagination des hommes. Une telle accumulation de rocs, érigés en un même lieu, au moyen de techniques totalement mystérieuses, a de quoi, en effet, susciter étonnement et perplexité. De multiples légendes ont, elles aussi, alimenté à leur propos les plus diverses interrogations : les dolmens, les menhirs, les cromlechs, les allées couvertes sont-elles l’œuvre des dieux, la manifestation tangible de miracles, d’une toute-puissante magie, d’une connaissance oubliée ? Ont-ils été dressés par des forces invisibles, par des géants, des gnomes aux pouvoirs inconnus ?

Ce livre fait le point de toutes les croyances, de toutes les suppositions formulées à propos de Carnac et des terres environnantes, les plus riches de France en monuments mégalithiques de toutes sortes. Mais l’auteur va plus loin. Il propose une nouvelle hypothèse, hardie, mais fondée sur des textes et des recherches minutieuses : les monuments de Carnac ne seraient-ils pas les ultimes vestiges de la civilisation de l’Atlantide engloutie à l’aube de l’Histoire dans d’inexplicables circonstances, civilisation dont seul Platon, sur la foi de documents égyptiens, mentionne l’existence et la disparition ? Une hypothèse s'appuyant sur les éléments les plus scientifiques de l'archéologie contemporaine, ainsi que sur l'étude comparative et systématique des données historiques, anthropologiques, mythologiques et légendaires. 

L’énigme de l’Atlantide trouverait-elle ses racines et sa solution à Carnac, dans les immenses sanctuaires mégalithiques qui bordent l’océan ? Perspective explosive et passionnante appelée, sans nul doute, à heurter bien des esprits, du moins à ébranler certaines convictions ancrées depuis des siècles dans la mémoire populaire.

 

Le grand Livre du Mois / Collection « Histoire de la France secrète » – 1987.

305 pages – 14,5 x 23 cms – 480 grammes.

Reliure cartonnée entoilée de vert olive avec titre et nom d’auteur en noir sur tranche et premier plat + jaquette de protection en couleurs.

8 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte.

 

Etat = de légères traces de stockage et manipulations sur une jaquette restée néanmoins brillante et (surtout) vierge de tout manque, ainsi que de menues rousseurs sur le bord supérieur papier… mais rien de franchement notable pour autant ! La reliure et l’intérieur sont en excellent état et l’exemplaire tout à fait bon pour le service !

 

>>> 4 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Jean MARKALE :

« BROCELIANDE et l’énigme du Graal »

 

Depuis le haut Moyen Age, et même sans doute bien avant, l'imaginaire de l'Europe occidentale s'est cristallisé autour d'un thème majeur: celui de la Forêt enchantée, située quelque part à l'ouest du monde, peuplée de chevaliers et de princesses, de fées et d'enchanteurs. Cette forêt merveilleuse, au cœur de la Bretagne, impénétrable à ceux qui nient la réalité des légendes, c'est Brocéliande qu'on appelle aujourd'hui la forêt de Paimpont.

C'est là, dans cette espace clos, vestige d'une forêt perdue qui recouvrait jadis des étendues immenses, que nos rêves vagabondent à la recherche du Roi Arthur, de ses preux chevaliers, Lancelot du Lac et le vaillant Gauvain, des ombres évanescentes des Dames du lac, qu'elles aient pour nom Guenièvre, Morgane, Viviane, ou bien celles de Merlin, de Tristan, d'Iseult la Blonde.

A travers tous ces personnages fabuleux, au-delà du miroir magique où se reflètent des amours brûlantes, des traditions immuables, surgit, éternellement vivante, la flamboyante image du Graal. Le Graal!... mythique et mystérieux, ineffable trésor, ou bien suprême enjeu d'une "quête" intérieure que poursuivent tous les hommes ? Mais quelle est donc la vérité du Graal ? Que contient-il de si passionnément désirable: le sang du Christ ou l’Élixir de vie de la tradition alchimique ? Est-il encore présent et accessible derrière les frondaisons obscures des arbres de Brocéliande ?

 

Tel est l'itinéraire vertigineux que Jean Markale, écrivain aussi inspiré qu'érudit, propose dans ce livre, clé d'espérance qui permet d'entrevoir les arcanes masquant la divine lueur, la flamme indestructible qui brûlera toujours dans le cœur des hommes, plus forte que la mort et que le temps qui passe.

 

Le grand Livre du Mois / Collection « Histoire de la France secrète » – 1989.

322 pages – 14,5 x 23 cms – 500 grammes.

Reliure cartonnée entoilée de vert olive avec titre et nom d’auteur en noir sur tranche et premier plat + jaquette de protection en couleurs.

8 pages (papier glacé) de reproductions photographiques hors-texte.

 

Etat = de légères traces de stockage et manipulations sur une jaquette restée néanmoins brillante et (surtout) sans accrocs, ainsi que quelques rousseurs sur la tranche supérieure papier… mais rien de vraiment grave/notable pour autant ! La reliure et l’intérieur sont en excellent état et l’exemplaire est déclaré tout à fait bon pour le service !

 

>>> 4 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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06/10/2014

La prison de Dracula

La prison de Dracula retrouvée,

parmi les vestiges d’un château en Turquie ?


Lors d’opérations de restauration du Château de Tokat, au nord de la Turquie, des archéologues ont mis au jour un passage secret menant à deux donjons constitués de cellules, il s’agirait des tours où Vlad l’Empaleur a été emprisonné au milieu du XVe siècle.

Les vestiges ont été retrouvés au sein du Château de Tokat, au nord de la Turquie. Leur découverte a été réalisée à l’occasion d’une opération de restauration programmée sur une période de 10 semaines. Selon İbrahim Çetin, membre de l’équipe en charge du projet, la structure recèle des passages secrets inconnus jusqu'ici. Il explique au Daily News : "Le château est complètement entouré de tunnels cachés. Il est très mystérieux". 

Plusieurs galeries ont en effet été identifiées dont une menant à une ancienne citadelle et une aux bains romains situés à proximité. Le constat des experts fait état quant à lui d’un labyrinthe sinueux composé de donjons secrets construits "comme une prison". Cette partie du château contient ainsi de nombreuses cellules cachées et c'est dans l'une d'entre elles que Vlad Tepes aurait été enfermé. "Il est difficile d'estimer dans quelle pièce Dracula a été emprisonné, mais il était ici", affirme İbrahim Çetin cité par le Hurriy et le Daily News. Pour en savoir plus et percer les secrets des tunnels, les archéologues entendent poursuivre les recherches.

Avec son frère Radu, Vlad a été pris en otage par le sultan Ottoman Mourad II, lors d’une réunion diplomatique en 1442. Les deux prisonniers ont été libérés après la mort de leur père et de leur frère aîné Mircea en 1447. Lors de leur détention, ils ont pu profiter des privilèges d'otage princier pour notamment étudier ou correspondre. Certains historiens pensent que c’est durant cette époque que Vlad a assisté à des pratiques d’empalements…

 

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Source :  http://french.ruvr.ru/news/2014_10_04/La-prison-de-Dracula-retrouvee-parmi-les-vestiges-d-un-chateau-en-Turquie-2386/

 

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06/09/2014

Un cas de guerre chimique il y a 1800 ans...

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© Yale University

 

Ce squelette à la posture si particulière, qui paraît vouloir repousser l’étreinte de la mort, est un soldat perse. Il semble avoir essayé de retirer son armure qui l’encombrait, mais sans y parvenir complètement. Son épée et son casque sont près de son pied. Que lui est-il arrivé ?

 

Pour le comprendre, quelques éléments de contexte.

 

Nous sommes au sud de la Syrie, sur le site archéologique de Doura Europos près de de la frontière irakienne. Cette colonie militaire surplombant l’Euphrate a été fondée vers 300 av. J.-C par les Macédoniens, avant de tomber aux mains des Parthes (-116) pour devenir une véritable cité. Elle sera annexée par Rome au second siècle, qui y installa une importante garnison.

En l’an 256, Doura Europos compte environ 5000 habitants, mais elle est prise par les Sassanides (qui règnent sur l’Iran depuis 224) et toute sa population est déportée. Ce squelette fait partie des assaillants perses qui mirent fin à l’existence de cette cité.

 

Mais il n’a pas péri seul sur le champ de bataille… Car en 1933, lorsque l’archéologue français Robert du Mesnil du Buisson, excavant un des tunnels dans la zone des remparts, l’a découvert, il n’est pas tombé sur un mais sur 20 squelettes ! Notre assaillant perse, mais aussi 19 squelettes de légionnaires romains, entassés les uns sur les autres, à distance de l’agresseur, comme s’ils avaient cherché à rebrousser chemin pour s’enfuir, totalement paniqués. Dans les grandes lignes, on pouvait deviner ce qui s’était passé dans ce tunnel : experts en poliorcétique, les Sassanides avaient cherché à pénétrer la forteresse par des opérations de minage destinés à saper la muraille d’une des tours de défense, en partant d’une tombe distante de 40 m. Les Romains avaient répliqué par une contre-mine, et c’est au moment où contre-mine et mine s’étaient rejointes que la confrontation fatale de nos 19 légionnaires nez-à-nez avec notre perse avait eu lieu.

 

Mais comment un seul homme avait-t-il bien pu s’y prendre pour se débarrasser d’autant d’adversaires d’un coup, dans un boyau obscur de moins de 2 m de large et de haut et de 11 m de long, dans lequel la progression, et a fortiori le combat, devait être bien malaisé (du reste, les Romains ne portent aucune blessure) ?

 

En empoisonnant ses adversaires à l’arme chimique, pardi !

 

C’est du moins l’interprétation — fort plausible — de Simon James, un archéologue anglais de l’Université de Leicester, qui a rouvert le dossier façon cold case en 2009, et proposé une alternative à la seule idée valable jusque-là : ces soldats étaient morts dans l’effondrement de la mine.

 

En reprenant les résultats de fouilles initiaux, James a noté que les chercheurs français des années 1930 avaient été surpris par une odeur de brûlé en découvrant les corps. Il a également relevé la présence de cristaux d’hydrocarbures (du bitume) et de souffre sur les parois du tunnel. Un scénario s’est ainsi dégagé, qu’illustre ce croquis de l’archéologue (© S. James) :

 

Doura-Europos_Duraminegas1sm.jpg

 

Voici ce qui s’est vraisemblablement passé. Sachant la confrontation directe proche, les Perses auraient ouvert une brèche vers le tunnel romain, un peu en surplomb, et allumé un petit brasero destiné à produire de la fumée, agrémentant le feu de soufre et de bitume. Peut-être à l’aide d’un soufflet, ils auraient pu orienter cette fumée délétère vers les Romains. Confrontés aux gaz toxiques qui se transformaient en acide sulfurique au contact des poumons humides, ceux-ci cherchèrent à rebrousser chemin, mais se heurtèrent à leurs camarades qui arrivaient derrière, tout aussi paniqués, ce qui explique le méli-mélo des corps. Les Perses auraient alors tranquillement pu effondrer la contre-mine une fois tout le monde estourbi. Et seul l’un d’entre eux, notre squelette, probablement le préposé à l’allumage qui avait dû perdre à la courte-paille, y resta, intoxiqué par sa propre arme.

 

Selon Simon James, cette première attaque chimique de l’histoire fut terminée en un clin d’œil. 

Les romains furent inconscients en quelques secondes.

En quelques minutes, ils étaient morts.

 

Source : http://www.lebloug.fr/morts-intrigants-n1-un-cas-de-guerr...

Voir également : http://fr.wikipedia.org/wiki/Doura_Europos

29/01/2014

Les extra-terrestres dans l'archéologie... et les seventies !

Un pur bonheur !

Avec Robert Charroux et Erich von Däniken en guest stars !